Poème de Sam
Écriture orgasmique
Mon auberge philo d’écriture,
Pour cette jubilation de mots,
Met mes neurones surexcités,
Dans des orgasmes incontrôlés,
En plaisirs du bon, juste et beau,
Vivant dans de nombreuses tournures.
Des mots remplis de sensations,
Ou plutôt provoquant celles-ci,
Nourrissant l’imagination,
De fantasmes pleins de délations,
Que la littérature confit,
A nous les poètes en actions.
Parcours des scribes faisant l’amour,
Pénétrant l’intime de chaque mot,
Déchargeant en eux de l’espoir,
Pour qu’ils enfantent plein de devoirs,
Dans l’imaginaire du très beau,
Ou de l’indécence, là, tout court.
La poésie est un voyage,
Ou l’allégorie tendancieuse,
Vient euphoriser le lecteur,
Ou le téléporter songeur,
Dans des navettes exploreuses.
De complexités ou d’outrages.
L’écriture aurait-elle une sensualité ? Ou en
ferait-elle, en éprouver une ? Ces mots aurait-ils un tel pouvoir qui
puisse apporter une jubilation neuronique ? Parler d’orgasme c’est un
peu excessif, mais pour des passionnés avec des mots bien choisis, qui
sait. Les archétypes philosophiques, du BIEN, BON, BEAU, JUSTE, peuvent
dans la poésie trouver un tel développement, que l’amour et la sagesse
peuvent s’y complaire aisément.
Les mots par leurs contenus culturels entrainent le lecteur ou la
lectrice car en poésie la gente féminine est beaucoup plus consommatrice
de ce genre de voyage, la notion de procédure communiée, en acceptation
des déroulements, en vécu suivant l’acceptation, et enfin l’évaluation
de ce qui a été vécu, c’est d’une structure mentale féminine.
Certains mots provocateurs, peuvent faire vivre des allégories complexes
ou tendancieuses. Cette forme dite poétique du dialogue, en
abuserait-elle ? Non, la versification empêche les ajustements de mots
bien assemblés.
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