Poèmes sur la conscience et être, page 2

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Poème de Papou

Pense a moi
Pense a nous deux
Après nos aux revoirs

Ne m'oublie pas
Où que tu ailles
promet moi ce soir

Quand l'instance
Te seras neuve
De gagner ta liberté

Glisse moi de temps a autre
dans tes pensées
À non, jammais nous aurions cru
L'Amour

Irréprochable et infinie
Mais un jour si tu t'éloignes
Pense a moi aussi

Dit toi qu'après la pluie
le lendemain jubile
Pense a moi

Que je me réveille si seule et sans espoire
de rêves épris
qu'en fin le temps t'arrache
A ma mémoire

Revit ces jours
Repense a ces instants
Les petit riens semblais si doux

Il ne seras pas un jour qui se passe
Sans que je pense a toi
Le coeur me manque encore
 

mastermartinf1@hotmail.com

 

 

Poème de Valérie Bergmann

Le détour de ma vie

Quoi de plus vivant
Qu'un tour de piste
Un retour d'artiste
prenant son élan
Quand tous les espoirs
Te permettent l'oisiveté compulsive d'un  soir
L'abnégation de tout ce qui est noir
La détention productive
T'aidera à mettre en verve
Tout ce que tu n'avais jamais espérer
Même en rêves
Et tu pourras alors rivaliser
Avec les restes d'un passé
Qu'il est temps de gommer
Avant que ton ego prenne l'eau.
 

 

Poème de Valérie Bergmann

Le coming out excommunié

Excuse-moi si je n'écris qu'en prose
Les mots en trop ont quitté mon esprit
Et les phrases écloses se sont fuies de ma vie
Le fruit déjà est mort comme une névrose
Quand de la psychose on ne voit qu'un mur

Malade d'un ennui prolifique qui prolifère
Aride comme le mystique mystère aux phalènes éphémères
De ma conscience, mythique à l'éloquence
Et à la cadence esthétique
Tous les non-dits de mon existence
À coups de mistral envolés
Sans égal balayés à l'érotico tendance
Je vois sombrer tous les regrets de mes ego sans émoi
Sans délai et sans retard
Il est déjà si frais il fait déjà si tard

Passif éclaté dans son univers écarlate
Ou la liberté universelle met en suspens
Les monts et merveilles de l'été
Suspendus en exode et  sans mérite
Les odes ne s'étendent plus que sur
Mes sonnets me laissant en rade
D'ou je lave des mots sans dérision
Qui adhèrent et délavent ma religion
Ou la tension aggrave
La dépression expressive qui enclave
Tous les ions de l'autre rive qui déclinent sur la rade.

 

 

Poème de Valérie Bergmann

Lucidité

Tu dis tout haut
Tes pensées secrètes
Celles que d'autres
Pensent de toi
Mais eux disent tout bas
Ce que toi tu sais déjà
Car de leurs yeux se reflète leur défaite
Tes intuitions trahissent déjà
Tes désillusions en action, tu vois
Ton visage ne ment jamais
Ils ne peuvent rien te cacher
Tu lis leurs émotions
Comme dans un livre codé
Que seul toi peux décrypter

Leurs sensations te laissent le coeur nu
Et tu te caches à chaque coin de rue
Tu tournes des pages des pages blanches
Quand ils te prennent par les hanches
Ton inconscient sans dessus
Est ton subconscient déçu

Tu es l'envers de l'endroit
Le  revers de ton émoi
Qui peut savoir ou te porte
Le livre de ton histoire
Toi qui a si peur dans le noir

Leur pauvre culture
À bien piètre allure
Ils délavent ta vie
Avec  une certaine cérémonie
Et dévalent de leur propre philosophie

 

 

Poème de Oss1171

Spleen

Facile tout serait
Renaître si je pourrais
Effacer l'adolescence
Recommencer l'enfance
la Renaissance

Tout oublier ?
J'aurais pu parler
dire tout à l'accusé
Comment oser ?

Oser parler
C'est mieux
Il faut écouter
Tous ceux
qui sont malheureux

Veux-tu renaître ?
Effacer tout perdre ?
Crois-tu vendre ?
Ton âme à prendre ?
 

 

Poème de Étoile

Eole

Quand le vent du Sud, me caresse la joue,
Je vois les bateaux blancs de la rade de nice.
Le Mont Fuji, le fond d'un précipice.
Je vois un carnaval, et une grande roue.


Quand le vent du Nord, me fouette le visage,
Je vois des flocons, des montagnes, un village.
Le Mont Finlay, un gouffre, un naufrage.
Je vois des rochers, et une immenses plage.

Quand le vent du L'Est, me glace les os,

Je vois des pommes d'or, des jardins enchantés.
Le Mont Cenis, les rives du Kilimandjaro.
Je vois le reflets des rivières salées.

Quand le vent du L'Ouest, me réchauffe le corps,
Je vois les vagues bleues de la mer Egée.
Le Mont Pirée, l'église d'une vieille cité ;
Je vois l'éclair, et un simple anneau d'or.

 

 

Poème de Étoile

Il est

Il est des souvenirs,
Qui laissent le cour en vrac.
Il est des sourires,
Qui laissent grandir le trac.

Il est des robes blanches,
Qui laissent sécher les traces.
Il est des vrais dimanches,
Qui éclaboussent la face.

Il est des anneaux d'or,
Qui laissent gonfler les doigts.
Il est de faux remords,
Qui me parlent de toi.

Il est des souvenirs,
Qui laissent la vie en troc,
Il est des sourires,
Qui sans rien dire, évoque.

 

 

Poème de Valérie Bergmann

Pour poursuivre ma route

Le soleil comme un chapiteau
Recouvre la terre de ses oripeaux
Et dans la splendeur  printanière
Délivre le ciel de sa lourdeur d'hier
Pendant ce temps,
 La munificence intellectuelle
Des âmes prolifiques qui s éveillent
Baladent au hasard de quelques phrases  
Quelques alexandrins rhétoriques
Sonnets  litotes ou  pamphlets politiques
Quelques  figures de style se jouent des
Sermons bucoliques

Sur les pages noircies de versification
C'est la saison lourde de métaphores sans modification
Qui te lance un défi et déplore toute abréaction
Là où poussent des anaphores 
Là où l'on cueille les  métaphores
La vérité  vient d'éclore

Pour traverser les âges et dire encore
Dans un ciel aussi bleu que la mer se reflétant dans un ciel sans nuage
Ne voir que le mariage du firmament et de la terre
Et là une vision panoramique venant de naître
Incitera nos vers prosaïques inspirés par nos maîtres
A jaillir d'une fontaine de jouvence
Après la peine s'en revient la quintessence
 De nos cours lyriques.
Nos chants liturgiques récoltent après l'abstinence
L'écriture  éclectique de notre sort poétique, quelle éloquence !
Là, Dansons au rythme des saisons qui avancent
La valse vertigineuse des mots pourtant stoïques
 Des rimes langoureuses même si surannées
Résisteront à l'effet séculaire de la littérature et de sa vérité
L'apologie de la prose incendiaire des mots sans armure
La poésie est une drogue pure
La poésie est une drogue dure.

valeriebergmann@orange.fr

 

 

Poème de Wakus

Excisée

Lame de couteau plantée en croix,
Comme un éclair de satin gris,
Ouvre en corolle petites lèvres,
Pour  saigner la triste loi.

Vieillard scalpel aux  dents d'acier,
D'un air de sage et en souriant,
Arrache la femme au corps d'enfant,
A son nid de paradisier.

Petit bonheur  au corps de nymphe,
A vu ses désirs mutilés,
Pour que le délice estropié,
Engendre la vie sans plaisir.

le triste signe est religieux,
Comme la potence ou le bûcher,
Et plante à jamais son archer,
Dans la noirceur des imbéciles.

Petite Isis en miniature,
A vu sa rose écartelée,
Le métal a su déchirer,
Le temple où grandit la nature.

C'est pour son bien disent-ils, et comme elle est mignonne quand elle hurle...

thomas.dubien@orange.fr

 

 

Poème de Passionsdelavie

J'ai l'impression que tu me connais si bien,
Un regard te suffit et tu comprends
Ce que je ne veux pas dire
Ce qui me fait rire, ce qui me fait souffrir
Je redoute ces moments
Je n'ai plus durant un certain temps
Ma liberté de pensées...
Mes yeux, tu les as toujours croisés
Comme pour pouvoir mieux les apprivoiser
Me découvrir...
Je n'apprécie cette façon de me dévoiler, de me délivrer...
Est-ce une illusion ou ai-je vraiment la sensation
Que tu lises dans mes yeux ?
 

 

Poème de Passionsdelavie

Pourquoi vivre ?
Alors qu'on va mourir ?
Pourquoi mourir ?
Alors qu'on peut vivre ?

Pourquoi rire ?
Alors qu'on va pleurer ?
Pourquoi pleurer ?
Alors qu'on peut rire ?

Pourquoi aimer ?
Alors qu'on va haïr ?
Pourquoi haïr ?
Alors que l'on peut aimer ?

Pourquoi sourire ?
...

Juste pour qu'une personne soit
touchée et sourit à son tour.

Si chacun souriait à une personne
et que cette personne souriait à une autre
et celle-ci à une autre, ainsi de suite ;
cela réparerait un peu les dégâts de la vie...

Sourire... Simple verbe qui peut rendre heureux.
 

 

 

Poème de Valérie Bergmann

Emphase

Ils ne comprendront jamais
Le pourquoi de tes phrases
Le cours de tes idées
Le comment de tes emphases

Ils ne sauront jamais
Les volutes de l'absolue vérité
Le plaisir sous  la souffrance
Que tu traînes depuis ton enfance

Ils n'adhéreront jamais
A la fuite de ta mémoire en fumée
Sans nuance le fruit de tes errances
Ils diront que tout ça n'a pas de sens

Je ne pourrais jamais
Comprendre leur vanité
Accepter leur ignorance
Dégradation de l'art de leur existence

Toi seul du haut de tes bas qui dansent
Ta conscience comme seule importance
Pourras-tu apprendre du haut de tes cimes
Et gravir l'art de la rime ?

 

 

Poème de Valérie Bergmann

Douce pensée

Il est des instants dans une vie
Où la philosophie devient conflictuelle
Et nous soumet au jugement perpétuel
De la consécration infinie
A l'abnégation partielle
Rien n'est tout  rose rien n'est tout gris
Les intimes convictions de l'infime variation
Oscillent entre le tout et le néant
Qui engendrent la mort et amplifient l'exaltation
Des excès en tout genre décuplant l'instabilité
Entre le yin et le yang
Et dans cette immense folie
S'exhibent d'intenses rêveries
Que nous portons dans notre moi interdit

Là réside l'incommunicabilité avec autrui
Le bien et le mal se livrent à la prosodie
De la lucidité, essence même de l'inspiration
Le bonheur est au bout de l'éternité par opposition
La mort devient donc une douce pensée.
 

 

Poème de Valérie Bergmann

Narcisse

Le narcissisme battait son plein
Lors d'antiques bacchanales
Me baladant sans fin dans d'infinis dédales
Je contemplais la décadente euphorie du déclin vénal


Désarçonnée par l'amour de mon prochain
Je cultivais les flammes de l'enfer
Au purgatoire des idées noires
Je cueillais les quelques vers notoires
De mes pensées divinatoires


Seule la solitude naviguait
Dans d'obscures vérités
Le long du fleuve des divinités
le courage faisait fi de ces velléités



Métaphore de ma destinée
J'arriverai au port dans un bateau de papier
Et  jetterai l'ancre azurée
Sur le cahier de bord de mes vagues années



Par des lacunes historiques
Je ne cherchais que la pratique
De mortelles pensées ne sont pas théoriques
Mais juste le son des cantiques
De ceux qui tiennent encore debout
Malgré l'injustice des tabous
Et les paroles vaines
Des souffleurs de vers
Garderont le mystère
Des ombres éphémères
Du ciel et de la terre

Me plongeant dans la nuit des temps
L'océan où s'exode le fruit du néant
N'implique que la fraude
Du futur ne voir que le printemps
Voici venir les odes et la flotte sans gouvernail
De mon escorte et de nos batailles.
 

 

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