Poème sur la mort et poésie de décès

 

 

 

Poèmes sur la mort ou décès



Poème de Goldgus


À celle que je n'appelle plus maman
Ce poème sûrement ne sert à rien,
Quand en nous, c'était pour la vie.
Mes yeux à mi-hauteur, et tu es partie,
La solitude quand je déplie la main.

Pourquoi toujours et ne rien oublier ?
Ta photo me console sur le chevet.
Il me restera une façon d'aimer,
Vois-tu caché notre seul secret ?

Qui serais-tu, quelle femme vêtue ?
Je suis si belle dans ce blanc têtu.
Un reste de toi, et tu restes derrière,
Dans un an, combien d'années lumière ?

Plutôt solitaire dans un triste essai,
L'écriture est donc ce qui est vrai.
Mais ces ratures agressent les adieux,
Dans une chanson, un piano peureux.

La mer toujours répète son couplet,
Et que pleure mon père assis sur les galets.
 La mer pose toujours ses liens,
 Un rouleau salé, lui dit « viens ».

Et ces chrysanthèmes qui ne fanent pas,
Immarcescibles me dirait les grands.
Tous les bouquets de roses en camélias,
Pour celle que je n'appelle plus maman.


gurvan.nantel@wanadoo.fr
 



Poème de Miss9306


Que j'aimerais qu'il revienne
Ce père que mon âme chérit
Ce père dont l'amitié me manque
Ce père qui m'a accueilli

Tu es parti précipitamment
Te dire au revoir, je n'ai pas eu le temps
J'aurais encore aimé passer avec toi de bons moments

Voir ta famille une dernière fois tu n'a pas pu,
Un père comme toi ça n'existe plus
Un homme si aimant on en voit plus
Pour toujours tu as disparu

Il ne reste que des photos à admirer
Et des souvenirs je dois me contenter
Dans mon coeur tu resteras
Jusqu'au jour où l'on se retrouvera...

Je t'aime papa !!


sandrine.1308@hotmail.fr
 



Poème de Nipher


Des mots si durs à entendre

que je ne veux les entendre

dehors décembre souffle sa grisaille

Noël prépare ces offrandes et ces ripailles


Des mots si durs à entendre


Entre la vie et la mort, je suis dans ce no man's and

qu'éclaire , qu'illumine ce large sourire.

Elle regarde ces petites mains qui se tendent,

qui demande de l'amour à n'en plus finir.


Des mots si durs à entendre


Qu'importe le pourquoi le comment,

qu'importe le comment le pourquoi,

comment dire ce que l'on ressent

lorsque l'on reste sans voix.
 

Des mots si durs à entendre


Alors, de cire blanche se figent nos visages

les larmes tanguent au bord de nos yeux

on voudrait voir des halos, des mirages,

ne pas vivre cet instant douloureux


P-----e est morte


jeanpaul.28@hotmail.fr
 



Poème de Nevasane


L'ange déchu, l'après mort...
La mort était pour toi une délivrance,
. Car le combat était perdu d'avance,
. Et te voir périr et souffrir en silence,
. A donner en moi un vrai plaisir intense.

. Sachez qu'en moi, un vide c'est créer,
. Lorsque j'ai était par sa faute condamnée.
. Ce fus une trahison de ma Belle adorée,
. Alors je suis devenu L'ange Déchu, le Meurtrier.

. Ainsi je dois combler ce vide occasionner,
. Dans ma source de vie meurtrie et blesser.
. Je me vengerais de mon cour détruit,
. Puisque la belle, je ne peux l'anéantir.

. Ton âme sera alors pour moi une collation,
. Face à cette impardonnable trahison.
. Je vous ferai sentir toute ma colère,
. Devenue l'objet de ma main meurtrière.

. Puisque maintenant ton âmes m'appartiens,
. J'ai le pouvoir de l'écraser dans ma main.
. Sache que ta mort ne fus pas une délivrance,
. Mais le début d'une souffrance intense.

Chom Nevasane Niki,
 



Poème de Milesie


la mort me fait peur
j'aimerais dire se que j'ai dans le coeur
évacuer cette torpeur
et cessé cette horreur

ce cauchemar me hante
il me tourmente
contre lui je me bat
pour ne pas tombé plus bas

un jour je sortirai de là
seul une présence m'aidera
je ne baisserais pas les bras
car l'amour de ma vie est là
A mon amour perdu qui su me rendre heureuse


milesie@alice.mes-dns.com
 



Poème de Sabatiny


Coeur troué
On dit que les yeux sont le reflet de la vie,
Mes yeux à moitié fermés, mes longs cheveux au vent,
Je ne vois que la mort dans cette lueur nocturne,
Ma vie rayonne l'obscurité, mon coeur s'alourdit,
Mes peurs m'emmènent vers un horizon invisible, lent,
Un paysage obscur, nocturne.

Je vis sous un ciel noir, dans un brouillard sombre,
Je n'ai plus aucune valeur, ce monde est rempli d'ombres,
Mon coeur se serre, je souffre en silence,
Personne ne m'entend, ma vie n'as plus aucun sens,
Ce monde se trouble, je ne vois que des visages sans rondeurs,
Des esprits sans coeur.
 



Poème de Morenita


Un ange s'en est allé
ça y est tu es parti
enfin libéré de ton poids
ta vie sur cette terre est finie
même si ce n'était pas ton choix

commence alors une autre vie pour toi
une vie d'ange où tu seras à jamais heureux
sans lois, juste avec la foie
dans les cieux auprès de Dieu

même si tu n'es plus là Petit Prince
pour toujours ton étoile brillera
même si tu n'es plus là Petit Prince
pour toujours on t'aimera


hochart469@orange.fr
 



Poème de Misslovelydu31


Dernier souffle
C'est un sentiment d'impuissance
qui nous rend vulnérable
qui prend notre bonheur
et nous offre le malheur.
Il redonne espoir
mais nous laisse vide
Vide de toute attente
dans ce monde si lâche

solitude
désespoir
Tous ses mots
qui font vivre
un véritable cauchemar.
Et quand ils deviennent insoutenable
pour apaiser leur souffrance
certaine personne provoque la mort
qui se glisse silencieusement
apportant le chagrin

Puis on pense aux personnes
qui tiennent a nous
Du mal que l'on va leur faire
quand ils nous verront
On repense a ses souvenirs
bien loin a présent
On se rend comte de notre acte
et on regret aussitôt
mais on ne peut plus rien faire
a présent il est trop tard
On se met a rêver
On voit sa vie défiler
Et soudainement
notre coeur
s'arrête
de penser

histoiressfin@hotmail
 



Poème de Kiki01


je ne peux pas encore te dire adieux
 même si tu es monté dans les cieux.
je ne peux pas parler de toi au passé
puisque ma douleur est toujours aiguisée.
je ne peux m'empêcher de regarder tes photos
même si ma vue sera embuée par tous ses maux.
je ne peux qu'être présente pour tes parents tes frères et ta
famille même si cela me souffrir.
je ne peux qu'entendre le craquement des cailloux blancs,
quand je me recueille auprès de ta demeure remplie de fleurs.
je ne peux qu'embrasser ces petits anges, qui nous regardent avec
attendrissement, ou tous ses enfants qui jouent dans ce paradis blanc, attendent la tombée de la nuit pour nous voir prier en pensant fort à lui.
je ne peux que te dire qu'on t aime et qu'on ne t oubliera pas,
mon petit Thomas.
 



Poème de Chouba


En fasse de moi un jeune homme
Me regarde d'un air triste et désespéré.
Il a les cheveux pas coiffés
Il a les yeux enflés tellement il a pleuré.
Et ses mains tremblent alors qu'il essai de me toucher.
Il ne peut pas, il n'y arrive pas !
Que va-t-il faire ? Retenter ou abandonner ?
Ce jeune homme en fasse de moi,
Je le connais, et il va abandonner.
Ce jeune homme en fasse de moi,
C'est moi car entre nous, un miroir.
Un foutu miroir qui me renvoie cette image,
Mon image...


johna_ldr@hotmail.com
 



Poème de Jean-Claude Morin


Quand je serai partie...
Quand je serai parti,
Que j'aurai quitté cette vie,
À vous, Parents et Ami(e)s,
Je vous en prie,
Ne soyez pas triste et ne pleurez pas en pensant à moi!

Soyez reconnaissants pour ces belles années,
Que Dieu nous a donné de partager.
Merci pour tous ce que vous m'avez donné, enseigné et apporté.
Merci pour votre Amour, votre Amitié.

Je veux que tous ces bons souvenirs restent gravés,
Le temps que nous serons séparés.
Je ne veux pas que vous soyez attristés,
De l'absence qui s'est imposé.

Je prie Marie,
Notre Mère Bien-Aimée,
De vous accompagner
Et de vous apporter,
Le Réconfort et la Consolation,
Afin d'apaiser,
La douleur de cet abandon.

Maintenant, je ne vous quitte plus,
Chaque minute, chaque instant,
Je suis toujours présent.
Dans votre cour je serai toujours vivant.
Vous continuerez de me parler,
Je continuerai de vous aimer,
Comme si le temps, jamais, ne nous avait séparés.


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Là où je vais...
Comme la rosée qui s'éteint,
Aux premiers rayons du matin,
Demain. je partirai.
Ici, je ne peux rester plus longtemps,
Vois-tu, là où je vais. je sais que l'on m'attend.

Je partirai par les terres,
Je croiserai les montagnes, les lacs et les rivières.
Je combattrai tous les chimères.
Je prendrai le temps nécessaire.
Soutenue par la Prière.
Vois-tu, là où je vais. je sais que l'on m'attend.

Dans la Foi et l'Espérance, j'avancerai,
Vers ma nouvelle destinée.
Les mains croisées,
Les yeux fermés,
Remplie de sérénité,
Comme une Blanche Mariée.
Parce que là où je vais. je sais que l'on m'attend.

Tu verras comme ils sont nombreux,
Ceux et Celles qui m'espéraient.
Ils seront si heureux,
Alors, ne sois pas inquiet !

Là où je vais, il n'y a plus de pleurs,
L'été est perpétuel
Et les arbres sont toujours en fleurs.
Le jour à chassé la nuit
Et je n'ai plus peur.
Enfin, comme je me sens bien !!!
Entourée des miens.

Adieu, Roses chéries, vous tous que j'ai tant aimés !
Jamais, je ne vous oublierai.
Par malheur, j'ai dû vous quitter.
Je sais que vous êtes affligées.
Mais ne soyez, ni tristes, ni préoccupées,
Je suis bel et bien arrivée !
Jetez vos armes,
Séchez vos larmes,
Je vous fais le serment,
Qu'à compter de maintenant,
Et pour l'Éternité,
Jamais plus, je ne vous quitterai.
Ni cesserai de vous AIMER !

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Tel l'oiseau
Tel l'oiseau à qui on a permis,
De quitter son nid,
Pour refaire sa vie,
Hâtivement, je suis parti.

Quittant vos bras bien aimants,
Renonçant au présent,
M'abandonnant au soleil levant,
Assuré d'un avenir encore plus grand.

Malheureusement pour vous, aujourd'hui,
C'est un jour plutôt gris.
Les nuages ont tout envahi.
Le bleu du ciel s'est évanoui.
Il pleut dans votre cour,
De grosses larmes de douleur.

Parents, Famille et Ami(e)s,
Je vous en prie,
En toute sincérité, je vous le dis :
Ne soyez ni triste, ni accablé.
Soyez heureux en pensant à moi !!!
Ici, il n'y a plus de douleur,
Plus de cri, plus de larme, plus de peur.

Inlassablement, le vent fredonne vos paroles et vos mots
Et l'écho,
Jusqu'à moi,
Porte vos voix,
Si douces, si chères,
Si familières.
Remplies d'Amour et de compréhension.

Oui, je vous entends
Et vous me parler.
Je suis ici, je suis là, je suis présent.
Je n'ai rien oublié !!!
Je suis avec vous tout le temps.
Plus personne ne peut nous séparer.
Et pour l'Éternité,
Je resterai celui que j'ai toujours été.
Je continuerai de vous AIMER !!!

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ur ta tombe
Au revoir Rose Bien-Aimée,
Toi que j'ai tant Aimée.
Sur ta tombe, je déverserai,
Un torrent de larmes aux couleurs du sang,
Pour évacuer ma douleur et apaiser mon chagrin.

Sur ton corps, je déposerai,
Un manteau de fleurs uniques,
Que je t'aurai apportées,
Identiques à toi: belles, naturelles, pures et magnifiques!

Sur ton front, je fonderai,
Ce suprême et ultime baiser,
Que tu pourras apporter et conserver,
Avec toi pour l'Éternité.

Adieu Rose Bien-aimée,
Tu peux maintenant désormais te reposer.
Entre les mains de Dieu, je t'ai confiée.
Tu continueras de vivre dans mes pensées.
Dans mon cour, ton souvenir restera gravé.
Tu resteras Celle que j'ai toujours Aimée.
Comme si le temps jamais ne nous avait séparé.


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Tu es venu, tu es parti
Petite merveille,
Comme un soleil,
Comme un cadeau du ciel,
Tu es venu alors que je ne t'attendais plus.

Pareil à un ange,
Rempli d'innocence,
Tu apportes à mon cour,
Une toute nouvelle fraîcheur.

Je revois toujours et encore ces moments merveilleux,
Qu'ensemble nous avons partagés.
Nous avions du Bonheur plein les yeux.
Mon Amour pour toi était illimité !

Le temps passe si vite quand on est heureux !
Le pendule nous vole les heures.
Tu es ce que j'ai de plus précieux.
Toujours, tu fais battre mon cour.

Puis soudain, sans s'annoncer, sans faire de bruit,
Le destin jaloux, contre nous s'est déchaîné.
Dans sa folie, il a tout détruit.
Contre lui, je n'ai pu te protéger.

Maintenant que tu n'es plus,
Le présent pleure ton absence.
Dans ce douloureux et interminable silence,
J'hurle à ce passé que je ne reverrai plus.

Toutes les photos que j'ai de toi,
Me mentent et me font souffrir.
Parce qu'elles me disent que tu es ici, près de moi,
Et ce n'est pas vrai.

Désespéré, le cour ensanglanté,
Je ne sais Qui implorer !
Qui pourra me libérer ?
Comme j'aimerais que tout cela ne soit pas réalité !!!

Ma dernière larme vient de tomber.
De l'au-delà, sauras-tu comme je t'ai Aimé, t'Aime et t'Aimerai ?
Les étoiles te diront-elles comment tu vas me manquer ?
T'assureront-elles que JAMAIS je ne pourrai t'oublier !

jcmorin_mex@yahoo.ca
 



Poème de Lila.Z


À mon oncle
Pensez vous que la perte d'un être cher peut changer totalement votre caractère?

Je me souviens il y a peu de temps t'avoir vu sur un banc,
Assis regardant droit devant, ne te doutant de rien,
Tout seul dans cette rue, mais en pensant à quoi?
À tes petits enfants les voyant grandir doucement,

Tu es parti, tu nous a quitter,
Des larmes j'en ai verser,
De la peine j'en ai trouvé,
De la haine j'en ai...

Ma mère pense à toi,
Ma mère parle de toi,
Ma mère pleur pour toi,
Ma mère n'aime que toi...

Tous pensons à toi, car tu nous manqueras personne ne t'oubliera graver a jamais tu nous restera...

Repose en paix!!!
 



Poème de Anonyme


Ils apparaissaient dans la fraîche lumière matinale
Un sourire éclairait doucement leur visage
Leurs Blanches et douces mains
Se reposaient sur les draps rouges
Faisant pleinement ressortir leur pâleur.
Seul le bruit des gouttes tombantes se faisait entendre.
Tout semblait pourtant leur convenir cette nuit là.
Leurs lèvres se touchant comme un éternel baiser.
Leurs corps nus entrelacés à jamais.
A terre une douce lueur argentée se reflétait au soleil.
Tombée du lit, elle marquait la fin de leur séparation.
Ils pouvaient maintenant se retrouver ensemble.
Ils semblaient pourtant si vivants.
 



Poème de Lise


La mort
Pourquoi vivre si l'on doit mourir un jour ou l'autre?
Le matin on se réveille heureux
Et le soir on se couche triste!
Mais pourquoi?
Si seulement les hommes arrêtaient de nous faire du mal!
Si seulement ils nous aimaient vraiment!
Mais ils ne savent pas se que veut dire le mot "amour"
Mais moi je ne veux pas savoir,
Je veux mourir,
J'ai assez souffert comme ça!
Alors laissez-moi mourir,
Ne soyez pas triste,
Ceci est mon choix!

petite.racaille@hotmail.fr
 



Poème de Aalis


Debout dans ma salle de bain
Une lame de rasoir à la main.
J'ai tendue mon poignet
Et l'ai ouvert en pensant à toi.
Mon sang se mit à couler,
Ma tête à tourner.
Je me suis laissée tomber à terre
Comme je suis tombée devant cet amour effréné
Au loin, une porte claqua
Mon nom fut crié
Tout à coup, je reconnu ta voix
Oui c'était bien toi
Tu m'as pris dans tes bras
Tu ne savais que faire
C'est quand j'ai dit je t'aime
Mes derniers mots prononcés
Que tu es redescendu sur terre
Pour la première fois, tu versa une larme pour moi
Tu dis que si je devais partir
Toi aussi tu allé en finir
Mes yeux se sont fermés pour rester clos à jamais
Du haut de la pièce je te regardais
A ton tour, tu pris la lame
Tu allongea à mes côtés
A enlacé tes doigts des miens
Notre sang se mélangea
Comme pour mêler notre chemin
Tu dis on va se retrouvé