Poèmes de mort ou décès, page 5

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Nos derniers poèmes

 

Poème de Titi_57

La mort

sur le tableau noir d'école
sur mes cahiers déchirés
sur mes feuilles gribouillées
j'écris ton nom

sur les nuages gris
sur la pluie ou le vent
dans la neige ou dans la pierre
j'écris ton nom

sur mes bras coupé
sur mon âme seule
sur ma solitude noire
j'écris ton nom

sur les montagnes hautes
sur les arbres coupés
sur les lacs pollués
j'écris ton nom

sur les coeur déchirés
sur les âmes mortes
sur les hommes  perdus
j'écris ton nom

et c'est ainsi
que sur mon coeur perdu
et sur mon âme déchirée
je te nomme la mort
 

 

 

Poème de Tvbb

La mort nous attend
Son bras, elle me le tend
Elle peut nous prendre à tout moment


J'aimerais tant la voir
Je ne sais plus quoi faire pour y croire
Comment la voir ???
Je veux le savoir


C'est une question de vie ou de mort
J'ai peut-être tort
Mais j'ai trop de remords


Il suffit d'un rien
Pour voir que c'est la fin
De la vie je n'attends rien

Je n'ai rien à faire ici
Je n'y ferai rien
Je ne suis jamais bien
Mais je ne veux pas mourir ici


Je suis encore un enfant
Il paraît que quelqu'un m'attend
Je veux savoir qui, où, quand, comment ??
Car je ne suis pas patient


Je ne veux pas souffrir
La mort si tu m'entends
Prends moi sans souffrance
Pour moi et tout ceux qui m'aiment

tvbb171034@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Tam

Je ne peux vivre sans toi
Je vais donc essayer de mourir sans ta présence
Une lame sur mes veines
J'appuie, un peu plus fort
Le sang coule à flots
Je te vois
Mais tu arrive trop tard
Etendue sur le sol
Je te fixe éperdument
La dernière image
Ton visage
Tes yeux magnifiques
Tes lèvres pales
Tu illuminais ma vie
A présent tu éclaire ma mort
J'étais là, je t'aime.
 

 

 

Poème de Florence

Ma vie à basculé du jour au lendemain
Quand tu ne m'as plus fais de câlins
J'étais tellement bien dans tes bras
Tu étais tout pour moi...
Un jour tu es arrivé
Et tu m'as dis désolé
Je t'ai regardé
Un poignard tu t'étais enfoncé
J'ai crié , hurlé
Pour que tu continues d'exister
Pourquoi ?
Pourquoi as tu fais ça ?
Je t'aimais bébé
J'ai tout cassé
Tout laissé
J'ai pris le pistolet
Et j'ai tiré
Tiré avec tant de haine
Que je saigne
Le sang dégoulinait
Et mon coeur était brisé
Je t'ai regardé une dernière fois
Avant de faire ce choix
Je t'ai murmurais
Murmurais que je t'aimais
Et je me suis envolée

stessyc.1995@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Venom

Aujourd'hui ça fait 17 ans

17 ans que tu es parti,

17 ans que tu nous a quitté,

17 ans que l'ange de la mort t'a pris ton âme,

17 ans qu'il t'a arraché à mes bras,

17 ans que je souffre de plus en plus jour après jour,

17 ans que chaque soir je pleure ta mort papa,

17 ans que j'ais un manque en moi qui me ronge et m'empêche de vivre normalement.

En quelques mots,ça fait aujourd'hui 17 ans que j'ais un mal de vivre
 

 

 

Poème de Lulu

Drame

Le téléphone déchire la nuit,
Après avoir poussé un cri,
La femme endormie se lève
Se croyant encore dans son rêve.

Milles pensées se bousculent dans sa tête,
Milles sentiments traversent son esprit,
Qui donc cela peut-il bien être,
Il est un peu plus de minuit.

Qui à cette heure peut bien appeler ?
Elle s'avance, elle va décrocher
La combiné du téléphone.
La sonnerie résonne.

J'écoute, oui, c'est cela même
Mon fils à eu un accident,
J'arrive. Non ce n'est pas la peine.
Je serais là dans un instant.

Elle repose le combiné du téléphone
Dans la maison, ses pas résonnent
Elle s'empresse de s'habiller
Prend sa voiture et ferme à clé.

Déjà dix minutes qu'elle conduit,
Dans un kilomètre l'hôpital,
Le seul mot « il n'a pas eu mal »
C'est-ce que le gendarme à dit

Un médecin l'emmène par le bras,
Reconnaître en plein cour de la nuit,
Le corps de son enfant là bas,
Étendu, sans âme et vieillit

Il est mort par les stupéfiants,
Ce n'était pourtant qu'un enfant
Qui aimait voir des tas de choses
Un enfant mort d'une overdose

Depuis ce jour, le téléphone
Est débranché, y'a plus personne
Au volant, elle à tué sa vie
En rentrant chez elle dans la nuit.

flinoli@free.fr

 

 

Poème de Lulu

Belle, attirante et cruelle

Au bord de la mer calme,
Un enfant es couché qui la regarde
S'échouer à ses pieds.
La tête dans ses mains, il fixe l'horizon
Le vent, soudainement se lève et l'enfant plongé dans son rêve sourit.
La mer chantonne, se gonfle et gronde,
Battant le sable et les galets,
L'enfant avance vers les vagues
Sautant, chantant, l'air épanouit
Mais la mer, comme une pieuvre ornée de tentacules,
Vient l'enrouler soudain.
Elle le berce et le balance avant de l'engloutir,
Et l'enfant disparaît.

Et le vent se repose, la mer arrête enfin sa danse
Et dans un dernier roulement,
Rejette sur la plage un petit corps d'enfant.

flinoli@free.fr
 

 

 

Poème de Lulu

Mon enfant

Ton portrait trône sur le buffet,
Et mon regard sur lui se pose,
Mon cour se pince et je me tais
Ta mort est une injuste chose

Et les jours passent et les années
Et mes pensées vers toi s'envolent
Je te vois encore dans l'entrée
De la maison, et je m'isole.

Oh ! Mon fils, mon cour, mon âme,
Tu m'as quitté un beau matin
Je suis ta mère voilà mon drame
Mon cour reste plaie du chagrin.

flinoli@free.fr
 

 

 

Poème de Jocelyne H.

Décès d'un enfant

Depuis que tu es parti,
tant de jours se sont enfuis.
Petit enfant, les heures passent,
mais jamais ton visage n'efface.
Depuis que dans ses bras tu t'es endormi,
le coeur de ta maman n'est que mélancolie.
Son ange, son tout petit, l'amour de sa vie
lui manque tant aujourd'hui.
Toi, son petit prince, dis lui,
que même si elle voulait que tu y sois roi,
ce monde cruel n'était pas fait pour toi,
trop de grillages à couper,
trop de lourd portails à pousser.
Si souvent près de toi son âme vagabonde
essayant d'atteindre ton nouveau monde.
Son ange, son tout petit, dis lui,
qu'elle n'a que les yeux à fermer,
que tu es tel qu'elle sait t'imaginer,
que tu cours dans les champs fleuris,
que tes cheveux sont remplis de brindilles, 
que là-bas tout est si joli.
Dis lui que quand le soleil luit,
ou que tombe la pluie,
c'est toi qui pour elle l'a dessiné,
que tes petits doigts touchent l'arc en ciel
qui brille au dessus de la maison ou elle vit,
que quand le vent vient doucement frôler son image,
c'est ta petite main qui caresse son visage,
que le soir tu es bercé
par tous les mots qu'elle aime te murmurer.
Son ange, son tout petit ,dis lui,
que tu n'es jamais seul car elle est là,
qu'elle ne sera jamais seule car tu es là. 
 

 

 

Poème de Mi

Un jour tu m'as appelé
Et tu m'as dis de rappliquer
Je suis arrivée
De monde ton immeuble était entouré
Je levée les  yeux et.
Je t'ai vue pleurer
Les pieds dans le vide, tu m'a regardée
J'ai courue, je suis montée
Je t'ai convaincu de pas sauter
Ta fille tu m'a confiée
Car tu avais peur de glisser
De mes bras je l'ai entourée
Tu nous a sourit et tu a sauter
J'ai essayée de te rattraper
Mais j'ai échouée
Et aujourd'hui, mon cour est éparpillé
Brisé, brûlé, ne veux pas oublier
Comment tu nous à quitté
 

 

 

Poème de Évelyne

Toi, qui tues sans rien attendre en retour !

Elle est assassine, silencieuse et furtive.
Au départ, elle est cachée, elle dort comme un loir.
Son souffle, vous le sentez sans pouvoir la voir.
Elle est rapide et met les gens à la dérive.


Elle peut être belle, violente ou naturelle.
Certains, en la défiant, font preuve de bravoure.
D'autres sont pris dans un voyage sans retour.
Parfois, on la trouve reposante et éternelle.


Elle est celle qui vous perce le cour par la tristesse.
Ce spectre rit de nous et vit de nos faiblesses.
Car elle ose vous retirer vos êtres chers !


Elle est ce sinistre squelette armé d'une faux
Maintenant, on sait que la mort vient que trop tôt.
Elle pénètre dans les maisons et tue vos mères !

leelooanderagon@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Mikajtm

Ce matin, j'ai ouvert la fenêtre,
J'ai senti quelque chose d'étrange dans l'air...
J'ai levé les yeux vers le ciel,
J'ai vu la pluie tombée,
Et j'ai compris que quelque chose avait changé.
Je ne sais pas pourquoi,
J'ai tout de suite pensé à toi,
J'ai attrapé le téléphone,
Composé ton numéro,
La peur au ventre,
J'ai attendu que tu décroches,
Mais tu ne l'as pas fait...
J'avais un mauvais pressentiment,
je sentais quelque chose d'étrange,
Des larmes coulaient le long de mes joues,
Je ne comprenais pas pourquoi je me mettais dans cet état,
Car il n'y avait rien de concret,
Juste ce mauvais pressentiment...
Je t'ai appelé une fois, deux fois, trois fois...
Tellement de fois,
Mais tu n'as jamais décroché...
J'ai fini par appeler ta demi-soeur,
Je lui ai demandé ce qu'il se passait,
Pourquoi tu ne décrochais pas,
Elle a commencé à pleurer,
J'ai compris que je ne m'étais pas tromper...
Elle m'a dit que, la nuit dernière, tu avais été renversé,
Par un chauffard, bourré...
Elle m'a dis que tu étais tombé dans le coma,
Et qu'ils ne savaient pas si tu allais te réveiller...
Je n'avais plus la force de parler,
J'ai dis que je rappellerais et j'ai raccroché.
Tout autour de moi s'est écroulé!
J'ai repensé à tous ces moments,
Tous ces souvenirs,
Tous nos délires...
Tu étais mon rayon de soleil,
Mon meilleur ami, on avait dit pour la vie...
Mon amour, on avait dit pour toujours...
Je suis allée à l'hôpital,
Jsuis restée deux semaines à ton chevet,
Jpassais mon temps à pleurer, à te regarder,
A espérer...
Mais ton coeur a fini par arrêter de battre,
Les infirmières, les médecins s'agitaient autour de toi,
Essayant en vain, de te faire revivre...
Je suis sortie de cette chambre,
Je marchais sans but dans ce couloir blanc,
Les larmes brouillaient ma vue,
Je suis arrivée à cette fenêtre, on était au cinquième étage...
J'ai regardé une dernière fois derrière moi,
J'ai vu ton corps sans vie sur le lit que poussait l'infirmière,
Je n'ai pas réfléchi, j'ai ouvert cette fenêtre,
Et je suis partie...
Je ne pouvais pas vivre sans toi :
Tu étais mon rayon de soleil,
Mon meilleur ami, on avait dit pour la vie...
Mon amour, on avait dit pour toujours...

playmate24000@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Meloka

Pour que ta vie existe

Pour que ta vie existe...
J'écrirai , j'écrirai encore
La noirceur de ton choix,
J'écrirai , j'écrirai encore
Rien ne m'arrêtera.

Main droite posée sur mon crayon ,
Des paroles pleins la tête
J'en ferai une chanson
Pour que tu me reviennes peut-être.

Dans ce monde qui est le mien ,
Celui ou, tout te semblait si triste
Reviens et je te prendrai la main,
Pour qu'à nouveau ta vie existe.

Réveilles toi de cette mort,
Qui t'a porter si loin
Lors d'un grand désespoir
Ou le mal a gagner sur toi et non le bien.

J'écrirai , j'écrirai encore ,
La noirceur de ton choix ,
J'écrirai , j'écrirai encore ,
Car ton geste je ne l'accepte pas.

Pierre tombale et fleurs,
Voilà ce qui reste de ton image,
Plus de voix , plus de ta chaleur,
Juste le vent qui souffle et qui fait du ravage.

Aujourd'hui , la neige recouvre ta tombe,
Qui est a des kilomètres de ta famille ,
Qu'elle a été la puissance de cette bombe
Qui a exploser dans ta tête pour que tu veules en mourir?
 

Dédier à Marco décédé en 2002
K.B
 

 

Poème de Pumaa

La mort

longtemps je me suis demandé si Dieu existait
Pourtant, le jour où je suis née
Il m'a donné le plus beau cadeau qui puisse exister...
Ma mémé.
Fidèle, sincère, droite et sans faille,
elle a passé sa vie au dévouement de son prochain
Aucune rivalité n'est possible avec une dame de cette envergure.
Quand bien même le soleil n'a pas toujours brillé sur ses journées,
C'est avec courage qu'elle a continué de nous élever.
Elle m'a accueilli en son sein il y a 24 ans,
Comme si j'étais le fruit de sa chair, de son sang.
Elle est la démonstration de ce qu'il y a de plus beau chez l'être humain;
Elle a été le courage, la force,
Qui m'ont donné l'envie de continuer
Elle était tout ce que je suis
Mémé tu es partie le 23 août dernier,
j'aurai dû mourir avec toi
tu n'avais pas le droit, attends moi
 

 

 

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