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Nos derniers poèmes

 

Poème de Cynthia0987

Personne ne me comprend
Personne ne sait qui je suis vraiment
On croit tout savoir...
Ce n'est que dans le noir
Ceux qui pourraient voir mon âme
Auraient peur en voyant la lame,
La lame qui détruis
Et fais saigner mon coeur meurtri.

Tout n'est que douleur,
Tout n'est que noirceur
Dans ce coeur de démon
Dans ce coeur qui ment
Je fais semblant d'être normal
Mais je ne suis qu'un animal
Un charognard assoiffé de sang
Qui, pour détruire prends tout son temps.

Pourquoi m'aimer
Pourquoi m'aider
Vous auriez peur
Si vous connaissiez mon coeur
Jamais vous ne saurez,
Jamais je ne vous dirais
Que ce que je veux
C'est pouvoir être heureux
 

cynthia0987@hotmail.com

 

 

Poème de Passionsdelavie

Tu n'as jamais changé
Malgré tes belles paroles
Quand tu rentrais le soir
c`est là que l'enfer commença
Tu m'as fait des menaces de mort
Des injures incessantes, des coups,
Des frayeurs, des blessures...
Pendant bien trop de temps.

Des disputes tout le monde en connaît
Mais la plupart des gens gardent
Un respect de l'autre et
Ont une fierté a préservé.

Toi, tu n'as jamais eu
De conséquence à tes actes
Tu n'as jamais reçu de pénitence
Pour ce que tu m'as
Fait subir ou plutôt nous.

Moi, par contre,
J'ai les séquelles
De ton martyr
Et ma souffrance
Est bien réelle

J'ai toujours essayé
De cacher ma douleur
Pour éviter de faire
Souffrir les miens

Maintenant,
Je revis une deuxième fois
Ces passages pénibles
Tu hantes mon âme
Je fais des choses
Qui me dépassent

Tu gâches mon bonheur
Mes rêves, mes envies
Mes décisions, ma famille
Ma scolarité...

Mais aussi toutes les personnes que j'aime
Mes amis sont obligés de supporter mon mal être
Tu as cassé ce qui m'était de plus précieux :
Sourire.

Heureusement,
Que certains me croient et me soutiennent
Que deviendrais-je sans eux ?
Serais-je à ta merci ?
Ton ballon de boxe quand tu as envie de te défouler ?

Je pense que si tu recommences,
Alors je ne vivrai pas
Surtout pas pour voir mes proches traumatisés
Je ne ferais que survivre
Ou plutôt endurer ?
Quelle version, préfères-tu ?

Tu vois ?
Je te laisse encore le choix :
Soit, tu arrêtes définitivement
Et je continuerais à souffrir
Jusqu'au moment où mes plaies
Commenceront à se cicatriser.

Ou tu continues et tu me tueras.
Je sais ce que tu penses
Je ne vois même pourquoi je pose la question
Peut-être un espoir ?

Je m'appelle Valérie, je n'ai que quatorze ans
Et je viens d'avouer ma faiblesse
Qui est ma fragilité
Que j'ai caché par ce masque
De ne dévoiler aucun de mes sentiments
Je ne suis pas courageuse car je viens d'être combattue.

Merci d'avoir cassé mon image, mon intimité... Mon adolescence !

 

 

Poème de Wakus

Dans le parc aux oiseaux au milieu de la ville,
Il est un doux vieillard reposé sur un banc.
Dans ses yeux sans colère, sont des années de flammes,
Des ruines et des cris rauques viennent hanter son sommeil.
Son violon abîmé par trop de partitions, est  là à son côté.
D'une main forte  et douce,
Il distribue des miettes aux moineaux et aux merles.
Ses joues sont parcourues de sillons sans triomphe.
Le reste de son pain, offert aux étourneaux,
Doit bien avoir le goût de ses années d'errance.
L'aurait- il cru  qu'un jour, ce vieux pain quotidien,
Au lieu de le manger, il le jetterait au sol.
Qu'a-t-il dit, qu'a-t-il fait?
Est-ce pour ses idéaux, son nom ou ses croyances,
Que jadis aux  aurores de sa vie d'être humain,
D'autres êtres humains,
Tatouèrent son bras gauche avec des numéros.
Dans le parc aux oiseaux,  au milieu de la ville,
Il est un doux vieillard reposé sur un banc,
D'une main forte et douce, il distribue des miettes,
Aux moineaux et aux merles


thomas.dubien@orange.fr

 

 

Poème de Cloutch

Cette chose abstraite qui nous ronge,
aucune pensée, aucun songe,
une illusion du temps qui s'arrête,
mais quel mensonge de notre âme distraite.
Les aiguilles tournent toujours,
le même rythme inlassablement répété,
qui semble nous dire que nos jours,
sont irrémédiablement comptés.
Profitons de la seconde qui passe,
car au prochain "tic" elle s'efface,
le seul souvenir qu'elle nous laisse,
est une vague image d'ennui mortel,
d'un vide profond et éternel,
qui nous meurtri et qui nous blesse.
 

 

Poème de Âme en peine

Arrête de rêver
Il t'aimeras pas
Arrête de pleurer
Ça marchera pas

Arrête de le regarder
Tu perds ton temps
Arrête de rêver
T'es plus une enfant

Arrête de soupirer
Jamais il va t'aimer
Arrête d'espérer
Qu'un jour ça pourrait changer

Arrête de penser
Qu'un jour il va t'aimer
Arrête de fabuler
Ça te fait juste pleurer
 

 

Poème de : Âme en peine

J'te mentirais
si j'te disais
qu'jarrive à oublier
que jamais tu ne vas m'aimer

j'aurais jamais du te dire
tout ce que j'avais sur le coeur
maintenant tu va me maudire
et moi j'laisse couler mes pleurs

j'ai le coeur en charpie
j'suis au fond du gouffre
j'serai juste ton amie
même si j'en souffre

et si ces mots sont sortis de leur planque
foutus mots que j'ai du mal à dire
c'est que déjà tu me manque
allez va vaut mieux en rire

c'est elle que tu veux
elle aura la première place
j'vous souhaite d'être heureux
et puis moi, comme d'hab, j'm'efface

 

 

Poème de Marjorie Claude

 

Dans un murmure

 

J'ai voulu t'oublier à jamais
Tracer un trait sur notre passé
Tourner la page dans un long soupire
Mais le vent me ramène à ton souvenir.

 Je crois que je souffrirai toujours
De ne plus te dire je t'aime
Je dois refouler mon amour
Mais il reste là quand même.

Mon passé est plein de regrets
Des mots que je ne t'ai pas dis
Même si je les ai souvent écris
Même si je les ai tant murmurés...

Il faut que j'ouvre les yeux
Nous ne seront plus jamais deux
Nos chemins se sont séparés
Nous vivons chacun de notre côté.

Et j'ai l'impression de m'être trompée
Je ne me pardonnerai jamais
De n'avoir pas su te garder,
Et d'avoir perdu tout ce que j'aimais...

 

 

Poème de Sandrine Pellegrino

 

Qui ou quoi

Dans la nuit seule avec mon chagrin
En me disant que Dieu le veut bien
Tout me parait revenir sans cesse
Rien à faire car Dieu me délaisse
Et pour l'éternité je serai en détresse
Seule avec mon chagrin malgré mes prouesses
Seule dans la vie qui me blesse
Et dans mes entrailles cet espoir qui ne cesse

 

 

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