Poèmes tristes, page 8

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Nos derniers poèmes tristes

 

Poème de Skittle_boy

Amour gâché

Lors d'une sombre nuit d'été,
Dans une chambre d'hôtel dorée,
Tout entier, mon corps t'a accepté.

Une larme s'était alors écoulée,
Symbole de ma destiné.
Dès lors je ne pouvais t'échapper ...

Tu m'as ensorcelé, hypnotisé, possédé.
Tel un serpent prêt à fondre sur sa proie épuisée...
Et moi, au pied du mur, j'ai cédé.

Aujourd'hui une larme a coulé,
Mais cette fois pour une envie de liberté!
Aujourd'hui je romps ma captivité!

Adieu mon bien-aimé...

tichou44_mikaphile@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Dr. Elie K. Mangoubi

Je suis triste

Je suis triste par ce monde
Où la colère gronde
Où l'envie abonde
Et je pleure.

Je suis triste par ce monde
Où la compassion manque
Où la corruption abonde
Et je pleure.

Je suis triste par ce monde
Indifférent à sa destruction
Où l'égoïsme abonde
Et je pleure.

Je suis triste par ce monde
Où la guerre fait la ronde
Où la haine abonde
Et je pleure.

Je suis triste pour ces colombes
Qui recherchent sans arrêt
Cette introuvable paix
Et je pleure.

Je suis triste par ce monde
Qui se meurt de cruauté
Par manque de sérénité
Et je pleure.

Je suis joyeux pour ce monde
Rempli de sérénité, de foi
Où l'amour fait la loi
Et je garde l' espoir.
 

 

 

Poème de Dr. Elie K. Mangoubi

Ils pleuraient

La patrie menacée
Avec joie ils partaient
Libres sans aucun doute.
L'àme revenue en déroute
Ils pleuraient.

Ces soldats courageux
Retournaient malheureux
Traumatisés, mutilés
Dans leur lit allongés
Ils pleuraient.

Ces hommes sans peur
Attaqués par la douleur
Incapables de bouger
De se laver, de marcher
Ils pleuraient.

Ils voulaient vite oublier
Le passé, le sang coulé
L' implosion, la guerre
Les atrocités, de colère
Ils pleuraient.

Ils se sentaient diminués
Incapables, dévalorisés.
A leur retour réunis
Avec la famille, les amis
Ils pleuraient.

Ils s'etaient sacrifiés
Pour la patrie, diminués
Dans leur esprit et corps
Ils étaient moins forts
Ils pleuraient.

Ils en avaient marre
De leurs cauchemars
De leurs décrépitudes
De leurs inaptitudes
Ils pleuraient.

Ils survivaient aliénés
A vie traumatisés
Ils continuaient le combat
Avec courage à petits pas
Ils pleuraient.
 

 

 

Poème de Aly

Je sentais ses mains de promener sur mon corps
il le faisait sans aucun remord
Au contraire il aimait les promener partout sur moi

Il m'enferma, il m'empara
Sans que personne ne le voit
Il barra la porte, ferma les rideaux
Et il décida de faire le grand saut

Il m'ôta mes vêtements
En descendant très doucement
Il touchait ou il voulait
Il arrêtait quand il le désirait

Une fois avoir accomplit son désir
Après qu'il ait eu dû plaisir
Je croyais que Cela étais terminé
Mais je me suis faite des idées

À son tour il s'est dévêtu
Une fois complètement nu
Il m'a demandé
De le toucher

Avec les plus grands regrets
Je les fais
Ma main s'est promené
Sur son corps développé

Une fois que ce fus terminé
Je suis rentrée
Content d'avoir satisfait ses désirs
Triste de devoir en souffrir

Ne pouvant pas en parler
Trop peur de ce qui pourrais se passé
J'ai gardé ma souffrance
Dans le plus grand des silences

J'étais seulement un enfant
Pourtant j'espérais éperdument
Qu'un jour la douleur du passé
allais très vite m' oublié
 

 

 

Poème de Coeur de diamant

Dédicace
Je te dédie toutes les braises
De l'enfer et de Satan
Et  qui me rend mal à l'aise
Je dédie le tonnerre et la foudre
Et que ton âme soit fêlée
Je te dédie les nuits gelées
Et les délinquants noyés dans la poudre
Je te dédie la malédiction
Des pauvres et les orphelins
Noyés dans les chagrins
La tristesse et la déception
Je te dédie une longue mort
Et la furie des fantômes
Qui ne craignent pas les hommes
Qui ne confessent pas leurs tords

mari7183@yahoo.fr
 

 

 

Poème de Sadness

Comme si pour toi
je n'existait pas
comme si nos moments à deux
n'ont aucune importance à tes yeux
Comme si tu voulais briser mon cour
m'effacer mon bonheur
comme si tout autour de moi
ne faisaient que parler de toi
comme si le passé me colle à la peau
tu crois que je n'ai pas confiance en toi
et moi je crois que je n'ai aucune importance pour toi
j'y mettrais du mien pour suivre ton chemin
mais ne prend pas plaisir a me planter
car tu pourrais me blesser et faire que t'aimer
ne serais plus qu'un passé
plus qu'un souvenir
qui pourras peut-être me donner le sourire
je ne suis pas un jouet
et s'il le faut je te le prouverai
On m'a déjà prise pour une conne
faire tout pour que j'abandonne
et même si je dois le regretter
je te quitterai

ze@piggy.nost.net
 

 

 

Poème de Nono

elle se change
et de sa démarche étrange
s'approche de la falaise
l'air mal à l'aise
elle respire fort
plus que quelques efforts
elle s'arrange
elle se venge
c'est bientôt la fin
elle observe ses mains
elle va bientôt fermer ses paupières
au-dessus de ces pierres
on a brisé son armure
fait revenir ses blessures
une faille
plus de muraille
pour se protéger
pour se consoler
c'est bientôt la fin
elle se voit déjà loin
on ne voyait en elle qu'une simple élève
et on lui a aspiré toute sa sève
son coeur bat au rythme de sa haine
cache toi elle va apaiser ses peines
un pas encore
et c'est la mort
elle était maître de sa vie
mais on lui a tout pris
c'est bientôt la fin
elle n'a plus besoin de rien
maintenant elle se fout de ton avis
elle suit enfin ses envies
ses larmes se recroquevillent
pas un bruits
et d'une manière violente
va fermer la porte
plus de veste
elle finit son geste
et c'est la fin

nono2593@hotmail.fr

 

 

Poème de Camilledu01

Les retrouvailles inexistantes

J'aimerais retrouver mon vrai père
Celui qui m'a faite avec ma mère
J'aimerais savoir pourquoi il est partit
Alors qu'il allait avoir une petite fille

J'aimerais qu'il me voit une fois dans sa vie
Si possible avant que la mienne soit fini
J'aimerais qu'il comprenne ce qu'il a fait
Et que jamais je ne lui pardonnerais

J'aimerais savoir si il pense a moi
Pendant ces grands moment de joies
J'aimerais qu'il sache qu'il a une fille
Qui a 18ans et qui s'appelle Camille

staniscam@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Anouka

Cauchemar

Au fond d'une chambre obscure, au fond d'un lit sans armatures
Je vois cette petite fille, l'atteindre je ne peux, un MUR.
Je ne comprends, ni entend ses soupirs
Mais je vois Ses larmes et Ses blessures.
Je veux la serrer dans mes bras lui dire que tout ira bien
JE suis LA.
Elle n'entend rien, elle ne me regarde même pas.
Je crie, je hurle, je tape, et je m'agenouille
Et soudain une porte s'ouvre,
Et je comprends que cette petite fille. C'était MOI.

 

 

Poème de Li-liane

L'araignée harceleuse

J'ai mal à mon cerveau.
Quelqu'un en a mangé un morceau
Cette partie manquante à été détruite
J'ai peur que ce ne soit irréversible.

Mon cerveau à été saboté
Il est handicapé
Normal, après le viol qu'il à subit
Il est stressé, affaibli.

J'avale des trucs qui n'arrivent pas à le rapiécer
Ils m'aident juste à surnager
Je peux sourire, faire semblant
Mais mon cerveau est mourant.

Je me sens brisée, tellement brisée
Et cette fatigue physique
Elle commence dans ce qu'il reste de mon cerveau
Puis tel un fiel se répand dans tout mon corps.

Je n'ai été rien qu'un objet dans le travail
Un robot qu'on guide et qu'on tue
Qui est conduit vers sa destinée
Comme du bétail à l'abattoir.

Après un arrêt de travail dû au désespoir
Je suis revenue et sans état d'âme
On m'a rendu à mon bourreau
L'araignée harceleuse.

Comme pour d'autres avant et après moi
Sans vergogne et sans être inquiétée
après avoir tissé sa toile
L'araignée harceleuse continue de tuer
De l'intellect humain elle en fait son festin.
 

 

 

Poème de Missmwa

Quand tu es parti
Je t'en es voulu chaque jour chaque heur
Je t'es détestée au plus profond de mon coeur
Tu m'avais abandonné
Tu m'avais oubliée
Comment avais tu pus me laissé seul
A souffrir dans ce monde sans pitié
Comment avais tu pus me laissé seul
Sans une épaule ou pleuré!!!
Puis un jour j'ai compris
cette douleur qui entais mon coeur
Chaque jour chaque heure
Elle avais aussi pénétré le tien
Peut-être même plus même profondément que le mien!!
Mais tu ne m'en a jamais parlée
Peut-être même es ce moi qui t'ai donnée toutes ces idées
Car tu a fais ce que je n'ais jamais osée
toi tu a osé mourir
Pour montré au monde que tu ne savais plus rie
toi tu a osé te tué
pour montré au monde que tu n'avais même plus la force de pleuré

mespotesdu25@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Mady94

A l'époque de mon jeune age
Je n'est su tourné la page
Et dans ce malheur
J'y est laisser mon coeur
T'avoir vue allonger là
Dans ce grand lit blanc et froid
La vie avais quitter ton corps
Et j'en pleure encore et encore
Je revoie ces deux enfants
Qui ne comptais pas le temps
On se promettait des choses
On voyais la vie en rose
On ne c'est jamais quitter
Même durant les jours d'été
Et puis passe les semaines
Jusqu'au tout premier je T'AIME.

madhelie@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Clairette

Pourquoi vivre ?

Dans ce monde tragique
Où tout le monde se fou de toi
Je n'ai pas su trouver la perle magique
Mais j'espère qu'au moins une personne pense a moi.

J'en ai marre personne veut m'aider
Alors à quoi ça sert que je reste ici
A quoi ça sert de rêver
je préfère aller rejoindre mon Papy.

Dites-moi seulement pourquoi
Je veux juste essayer de comprendre
Vous ne vous rendez pas comte de tout ce poids
Qui me hante les épaules, je veux juste apprendre.

 

 

Poème de Amandine

tes mains lestes
caressant mon corps d'enfant
tu t'accapares tendrement
de ma peau douce sur tes mains sèches

mais le tremblement nerveux
de mes jambes crispées
te rendent preux
et t'invite a me provoquer

le temps qui défile
mes yeux qui s'animent
de peur ou de terreur
je ne comprends pas se que peut ressentir mon coeur

jamais je n'effacerais
le visage de cet homme capturé
par son vécus, par son passé
qui a conduit le miens
a ressembler au sien

la même haine
aujourd'hui dans mes yeux

est-ce pour adoucir ma peine
qu'aujourd'hui, hier j'ai pardonné
a cet homme qui était venus troubler ma vie
pour venger la sienne....

et transformer mes pensé
par le fait qu'il mes violé..
 

 

 

Poème de Tony8

Lorsque j'étais enfant,
Je rêvais d'être grand,
De créer une belle famille,
Avec de nombreux amis.

Une femme superbe à mes côtés,
Heureux je nous voyais,
Des enfants bien éduqués,
Tout un ensemble parfait.

Mais c'est en grandissant,
Que je suis devenu conscient,
De ce que je suis devenu,
Un homme que jamais je ne fus.

A ma femme que je rêvais:
Je me présente désolé,
De ne pouvoir vivre avec toi,
Car je serai pour toi un poids.

A mes enfants dont j'étais fiers:
Je ne pourrai être votre père,
Car je ne veux vous dégoûter,
Vous faire honte à tout jamais.

Lorsque j'étais enfant,
Je rêvais d'être grand,
Ce que je n'ai jamais été,
Car je n'en ai pas la capacité.

Je préfère rester seul,
Ce que sûrement les autres veulent,
Je vous demande pardon,
De n'être pas né en homme bon.

big_ben8@hotmail.fr
 

 

 

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