Poème-5099

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Poème de Coraline Leenknegt, France

 

Mon coeur s'affaiblit de crie
Est se bloque en crise
Devant ce regard que je vise
Je n'ai encore rien deviné
Je laisse le mystère m'envahir de rose
Et je laisse mon cerveaux maîtriser ses pétales
Je laisse le désir s'émerveiller en moi
Pourquoi aller plus loin ?
Je suis mon rêve plutôt que de le perde
Dans la réalité que je ne contrôle qu'à moitié

Je prends le train d'un manège
Il me vient enchanter et me fait découvrir son palet
Je me déguise en magie
Est la réalité des jours me revient
Par le souffle de colère
Qui passe par une joie mystérieuse
Qui ne prend cour qu'un instant, mais le plus heureux
Est a celui à qui j'ai pu
Laisser ces étoiles aussi mystérieuses
Par ma colère à moi-même

Je suis comme un papillon
Je ne suis que mouche et beau
Et quand je sorts de ma coquille
Je m'envole pour partir
À la découverte de la terre
Et je vis chaque jour
En pensant
Que le bonheur ne revient pas demain

 

Garder la blancheur de début
Qui avec le temps engloutie
La chaleur qui se défile
Avoir la confiance du début
Qui s'estompe par la désillusion
De notre conscience
Écrire les mots ou les morts perdent
Leurs valeurs
Et laisse la nature de leur identité
S'évaporer
Se laisse aller guider par un crayon
Et le fait prolonger par imagination
Se raccrocher à la blancheur de début
En illumine un peu tous les jours
Pour que ne s'estompe cette joie du début

Les rêve nous suivent
Et ce prolongent
Par le dégoût que rien n'est vrai
Nous vient la réalité
Quand le début s'ouvre d'un arc-en-ciel
Le rêve se laisse mener dans vérité
Quand au milieu la désillusion de notre rêve
S'enchaîne pas un vent de brouillard
Va-t-il faire du soleil ou pleuvoir
Nos rêves nous laissent sur la voix du soleil
Et la réalité nous laisse sur le doute de l'arc-en-ciel

Se préparé à n'importe quel moment
Et lâcher pour la désillusion de cet instant
Ne croire en rien
Quand la chose, la récompense de nos projets arrive
S'apercevoir que rien n'est juste quand ça nous touche
Prendre l'agglomération du monde envoyé
Notre malheur et s'apercevoir que ce n'est qu'un rayon de bonheur
Avoir le choix
De ramener le juste ou de reculer tout ce qui est dur
En s'apercevant que les choses
Avancent comme ça
Et que notre décision n'est qu'une étoile parmi les autres

Passer son enfance sans imprudence
Passer les années à féliciter
Regretter les années à ignorer
À travers notre esprit
Reste la douleur qu'on ne peut oublier
Ou le bonheur ne faut se ressentir
Avoir la bonheur, le rechercher, le trouver,
Sera notre devise a tout jamais

La désillusion de nos sentiments
Amènent à tout arrêter
Et à se poser les question essentielles
En attendant que nos détails
Perdent nos chemins
Et sombre dans le doute
Ou ils finissent
Par se retrouver
Sur le chemin de la paix

Je m'envole je par au-delà de la réalité
Et je cherche le soleil
Je vois mieux que la réalité
Je grandis, j'oublie
Mon cerveau ne garde que les bon souvenir
Et engloutie les mauvais dans le passé
Je vole, je reste sur terre
Et j'ouvre la fenêtre
En apercevant que ce n'était qu'un rêve

La pensée fait notre raison
Nous vivons que de doutes
Et d'opinions
Le passé a englouti la vérité
Et nous laisse avec les quelques
Mystères rester
L'illusion nous laisse le choix
Nous suivons notre raison
Sans savoir
Si nous avons raison

Rien n'est accessible
Puisque l'on veut
Et tous ce que nous pouvons avoir
Nos rêves nous y emmènent
Et la réalité nous ramène
Vers le contraire
Et notre instinct
Bascule entre les deux
En s'apercevant
Qu'il y aura toujours
Des inconvénients

Se lasser de notre confort
Et garder le plaisir de la toute première fois
Rester fidèle à ce qu'on aime
Fuir le futur avec eux
Garder les avantages du passé
Pour les emporter dans le futur
S'ennuyer du passé et imaginer le futur
Rester avec les choses qui ne changeront
Jamais dans leur valeur et ne nous
Lasserons jamais l'argent est
Dans ce secret

Ne pas regarder derrière
Et prolonger notre passé
Par les plaisirs futurs
Marcher tout droit pour fuir les inconvénients
Et marcher dessus une fois pour toute
Se laisser aller quand les questions
Deviennent une réalité à se poser

À limage sombre que nous apporte les gens
Aux joies que la vie a de plus beau
Aux imaginations de nos rêves
Aux réalités qui ne voudrons jamais
De nos imagination les plus réelles
Soyons nous-même pour que demain meure
ne nous fasse rien

Les gens cherchent en espérant trouver
L'espérance et le rêve
Et la réalité le contraire
Nous espérons trouver la certitude
Et perdre nos doutes
En s'apercevant que l'espérance
N'a qu'un côté d'illusion

Se prépare à n'importe quel moment
Et lâcher tout pour la désillusion
De cet instant
Ne croire en rien
Quand la récompense de nos
Projets arrive
S'apercevoir que rien n'est juste
Quand ça nous touche
Prendre l'agglomération du monde
Envoyer notre malheur
Et s'apercevoir que ce n' est qu'un
Rayon de bonheur
Avoir le choix
De ramener le juste ou de reculer
Tous ce qui est dur
En s'apercevant que les choses
Avancent comme ça
Est que notre décision n'a qu'une
Étoile parmi les autres

Je me hisse pour envahir
Les gens me rendre le plus terrifiant
Que je vis le plus longtemps
Que je vis le plus longtemps
Je creuse dans les souvenirs des gens
Ramener leurs blessures perdues
Et les ranimer
Remplisse leur futur de doutes
Et ramène la crainte
Jeune ou vieux ils n'en sortent pas vivants
Le doutes s'installe en attendant
Que le bonheur le soulage

Regarder le vent qui ramène le souffle
Prendre le soleil et faire briller
Quelques miettes
Rêve et jouir de nos rêves
Qui ne dépassera jamais la réalité
Refléter une toile de notre vie
Sur une échelle
Qui va se terminer
Et laisse le passé en poussière
Donc l'ignorance de nos épreuves


Mille frisons
Mille pensées
Et mille gestes qui m'emprisonnent
de cette liberté
Que je dois surveiller
comment peut-on appeler
liberté si je ne peux
que me contrôler
je vis dans mes rêve cette liberté
est je vis dans la réalité liberté surveiller


Goûte d'air qui s'envole dans les airs
comme un révolver
qui me pourchasse du désert
mot qui résonne pour exprimer
ma peine
d'un destin accompli
sans rêve

Vite vite je cours après le bonheur
qui m'envoie dans l'air le malheur
je ne les pas vu venu j'ai juste envie de l'avoir
avant qu'il vienne me voir
je n'ai pas choisi ces instants que je vis
mais je vis avec rire ces moment que m'imposent cette vie
je garde le nécessaire pour garder sans froid quand le malheur
m'offre ces services de morale
qui resteront un apprentissage que je rejette sous le présent qui me le confeste

Mille larme d'un au revoir
comment a t'on pu nous tromper ainsi
de prendre le malheur pour nous
notre chemin est une défaite
si nous restons avec les mains présence de maintenant
la mort de quelqu'un doit rester à nos yeux immortelle
de cette âme dans notre coeur de larme
est dans nos lèvre de bonheur incontestable

Souffle de raison qui s'envole
D'argument inintéressant
Objectif inactif
Méthode de construction
Milieu et sans froid
Où l'homme perd raison de sa problématique
Et repart au début de son but
Qui ne va que se poursuivre d'évolution
Sans satisfaction
De fin
Mais le rayonnement des débuts ne fait que se reprendre à la fin

Qui ne ressemble a rien
Par le début d'une fin
Et ne débute sur un fil qui va se finir
Sur un trait de folie qui se terminera
Pour nous sur une durée aussi longue
Quel m'étais aussi courte pour lui
Mais ne sera sans peine, sans haine et sans joie
Quel le sera pour nous toutes une vie de mille étoiles
Que nous souhaitons à notre prochain
Nous somme la partie intégrale du début et notre prochain


 

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Mise à jour ; 12 mars  2005   Copyright © 2004, Les éditions Mélonic