Poème-6028 |
Poème de Mathilda, France
La nature et l'Homme
La mer est une merveille Sentir la chaleur qui m'éveille Regardé les oiseaux volant Sous le vent Avec leurs ailes Ils volent vers l'arc en ciel
Admiré la montagne Se cachant derrière la campagne Je la vois rebondir dans les collines et les champs Pour seulement caressé la pelouse verte, au son du vent Le linge blanc recouvrant la roche Je ramasse un caillou-souvenir et le met dans une poche
La forêt, malheureusement disparaît par les bûcherons Ne laissant pas un buisson Certaines sont encore remplies d'arbres, de sapins Mais dans quelques années il n'y aura plus rien Moi, l'Homme qui aura fait tout disparaître Je serais déçu : il n'y aura plus un Hêtre.
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Mise à jour ; 12 mars 2005 Copyright © 2004, Les éditions Mélonic |