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Poème de Sam
Séguin en reste chèvre
Seriez-vous ce pauvre
GRINGOIRE ?
Chroniqueur dans un canard ?
Refuseriez-vous de lire
Ce poème et son délire ?
Au nom de la liberté
De la presse, cette prostitué.
La chèvre de monsieur SEGUIN,
Aurait-elle une autre faim ?
Ses chèvres avaient une pudeur…
Qu’un légionnaire, aurait peur.
De l’amour humain restreint,
L’appel du large… autre destin.
Elles ont toutes rongé leur corde.
Là haut par le loup, tentées.
Les vaines caresses de SEGUIN,
Quitter l’ennui c’était bien.
Monsieur SEGUIN persévère.
Un septième ciel sans manières,
Beaucoup plus jeune et docile,
Pour combler son domicile.
La séquestrant par derrière,
Longue longe pour se laisser faire,
A ce pieu, SEGUIN ravi,
Se la cru au paradis.
Un jour, là haut, oui les sens,
Fugue amoureuse d’indécences,
"Hé SEGUIN, le loup est-ce bien ?"
RENAUDE…toute une nuit… puis rien.
Pécaïre, j’aimerais me le faire.
Bonté divine… devrais-je faire…
Il la cloîtra dans l’étable.
La fenêtre… est-ce raisonnable ?
Parbleu, la blanche, enfin libre,
Se lâcha de toutes ses fibres,
Plaisant aux natures présentes,
De l’herbe, et plaisantes détentes.
Ces plaisirs l’ayant saoulée,
Vautrée les jambes relevées,
Téméraire, SEGUIN au loin.
C’est petit… des chamois, tien ?
Les galanteries que mousses taisent.
Le soir violet, une fumé,
Un gerfaut, pour l’inquiéter,
Les Où ! Où ! Du loup lui plaisent.
BLANQUETTE devint nostalgique.
Alors doucement le loup,
Lorgna la menue du coup,
Langue rouge, amadouée, cynique.
BLANQUETTE là toute éperdue,
De RENAUDE, voulu l’exemple.
Voulant s’offrir, non, refus.
Son combat devient plus ample.
BLANQUETTE résiste au loup,
Oh ! Que de mutuelles ardeurs,
La lueur arrive… c’est l’heure.
Viens loup, je serais ton coup.
Sa robe blanche, de sangs, tachés,
A bout de forces, épuisée,
Fini comme les précédentes,
En histoire oppressante.
Les préparatifs soignés,
En caresses tant déployées,
Cerise pour l’apothéose,
Se déguste à petites doses.
Comparez les textes pour voir…
Les points communs dans ces voir…
C’est vrai… un autre regard.
Pourquoi pas, serait-ce soudard ?
GRINGOIRE, ce texte se relie.
Comparant les écritures,
L’âme poète en ouverture,
Merci DAUDET, des non dits.
Merci d’aller voir :
Un autre regard
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