Poème de Sam
Une autre vie
Le parti du respect du peuple
Le "P-R-P" même si c’est drôle.
Où l’élu pense d’abord au peuple
Et non se préserver un rôle.
Faire du social avant la liste
Pour que l’humain soit respecté
Ne serait-ce pas une meilleure piste
Qu’un espace politique pollué.
Un peuple qui se désintéresse
De vivre ses devoirs d’expressions
Où sa vraie vie n’est plus maitresse
Des choix qu’il aimerait pouvoir faire
Changeant les dérégulations
En citoyen où tout prospère.
Je pensais pouvoir être fier de me considérer être un citoyen français,
européen et du monde… et non un domestique, esclave politique, otage
sans intérêts de la mondialisation économique qui se passe de mes
besoins, de mes convictions, et de l’avenir que je pensais pouvoir
transmettre à mes petits enfants.
Serais-je un petit roquet, qui cri au vent ses inconforts, pour faire
croire qu’il existe et se persuader d’être influent. Alors que faisant
pourtant partie du plus grand nombre, une poignée de décideurs
médiatisés, ont réussi à mettre une burqa sur la visualisation de mes
réels choix de société et de représentants respectueux de vie humaine,
plutôt que de la seule impersonnelle économie, représentants qui
puissent être médiatiquement soutenus.
Comme MARTIN LUTHER KING, j’ai fais un rêve… celui d’un homme qui prie
devant un mur qui est reconnu être un espace intermédiaire avec DIEU des
suppliques de tous. Un homme qui fait cet acte avec toute sa FOI, depuis
cinquante ans… une journaliste qui y voit un scoop, ose demander à cet
homme l’objet de ses prières.
Je pris le seul et unique DIEU, le seul qui puisse intercéder à
l’intérieur des pensées humaines, de faire en sorte que tous les humains
puissent s’écouter et s’aimer. Qu’aucun de nos descendants n’aient à
subir de guerre, que la nature puisse avoir une trêve assez longue pour
réparer les blessures que les humain ont cru avoir le droit de pouvoir
lui faire.
Et ça marche ? demanda la journaliste
Hélas non… j’ai l’impression de parler à un mur.
Ah, des haïkus…
Suis-je un être libre ?
Libre de pensées et de choix ?
Et qui fasse tout pour ?
Serait-ce mon problème,
D’exprimer mes inconforts
Pour vivre des conforts
Dois-je vous crier help !
Pour donner l’envie d’agir
Pour tuer le mouroir.
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