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Texte d'enfant

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Texte de Karola

Mon enfance

Je suis née le 25 avril 1955 dans le Québec dans une ville appeler Lévis. Je suis resté à Lévis jusqu'à l`age de 4 ans. Car mes parents ont déménagé mon père avait perdu son emploi mais allait travailler avec mon oncle qui avait une compagnie de fourrures puisque que mon père était tailleur de fourrures, il faisait des manteaux, chapeaux, et des manchots. Ma mère ne travaillait pas dans ce temps là c'était mal vu qu'une femme travaille elle s'occupait des enfants et des travaux ménagers. Quand je suis parti avec mes parents de Lévis pour aller vivre au centre Ville du Québec ma soeur Sylvie avait 2 ans et ma mère était enceinte de mon frère André.

J'ai eu une enfance heureuse mes parents étaient de bons parents aimant et attentif et prenaient soin de nous. J'étais un enfant très calme, réservé pour mon age et aimait beaucoup jouer à la poupée et à chanter, danser, faire rire et un peu timide aussi mais cela est passé avec le temps. Je n'avais pas beaucoup d'amis car je me maillais pas beaucoup aux autres j'étais plutôt indépendante et très sérieuse pour mon age je parle vers l'age de 10 à 13 ans. Puis vient le temps des aventures amoureuses comme toute adolescente j'aimais les garçons mais pas de mon age un peu plus vieux car comme je l'ais dit au début j'étais sérieuse pour mon age alors les garçons de mon age pour moi étaient plus bébé aimaient jouer des tours et cela ne me faisait pas rire.

carolem.vachon@videotron.ca

 

 

Texte de John Lucas

«  Il y avait un gros arbre près de chez nous. Rock disait que c'était le plus gros des Arhydes et qu'il devait bien avoir huit cents époques. Il faisait bien notre maison en largeur, planté sur ses racines qui étaient des vagues que nos pieds de tous temps avaient formées et lissées.
Tu te souviens Jena ? C'était la première chose que je voulais te montrer lorsque tu es arrivée. Je te voyais toute nue dans la grande bassine près du réservoir et Mam pompait encore l'eau qui se chauffait sur toi en cascade. Tu tenais un savon. Un savon. Il était presque blanc ce savon, et tu le passais sur ta peau délicatement.
Tu ne me voyais pas. Mam avait dit qu'il ne fallait pas voir ces choses, car cela ne me regardait pas. « C'est une fille, tu comprends. ? »
J'avais vu ton premier sourire.
Je m'étais caché ensuite et j'étais resté dans l'ombre le cour battant. Je crois que je n'avais rien vu de plus beau en ce monde que ce mince sourire, et comme une blessure merveilleuse, il s'était tracé sur ma peau et dans ma chair.
Je ne t'ai jamais parlé de ça. Tu étais trop petite. Je t'avais dit seulement que ton sourire était une fleur parce que je n'avais jamais vu de fleur et qu'une fleur ce devait être beau. Tu avais encore souri avec un léger souffle sorti de ta bouche tel un parfum qui parachevait un bouquet.
Je me souviens, nous montions la colline. Tu sais, c'était juste sur la gauche derrière la grande roche rouge. Ça grimpait un peu mais c'était un bon chemin. L'arbre était derrière.
Je ne voyais que toi dans une robe trop longue et bleue come le ciel.
L'arbre était la et tes lèvres avaient formé un rond net tout rose. Tu avais dit : « Mais. Ce n'est pas ça, un arbre. ? »
Nous en avions fait le tour. C'était comme la chair d'une grande bête au cuir Blanchâtre dont les membres montaient nus vers le ciel. Un monstre usé par les vents au faite de sa bosse de toujours.
Ce fut notre arbre. Il dominait la vallée et nous y voyions, lorsque nous étions sur ses branches,  les plus beaux rêves. Ton sourire était alors venu souvent. Il était venu toujours. Il était resté et il n'y avait rien eu de semblable ensuite.
Cet arbre.
Tu te souviens Jena. ? Tu me regardais lire un livre. Il y avait des images dessus. Elles étaient bien faites et je t'avais dit de venir près de moi pour les voir. Tes doigts contournaient les formes des dessins et je t'avais dis que c'était la mer et les dunes.
« Ça n'existe pas. » Avais-tu dit. J'avais répondu que si.
Mam nous avait entendu et avait dit que peut-être, y avait-il très loin, cette grande étendue d'eau.
Ce fut notre espoir. La nuit, tu venais le long de mon lit et tu me murmurai que si la mer existait, il faudrait bien y aller un jour. Et tu serrais toujours ta peluche contre toi. Tu restais à genoux dans l'obscurité en attendant mes réponses et nous chuchotions mille fois des choses qui étaient nos vies d'enfants.
... Oh Jena, pourquoi n'es-tu plus là... »

 

john-lucas@wanadoo.fr

 

 

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Éric Trudel Canada texte-6001

 

 

 

 

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Mise à jour ; 12 mars  2005   Copyright © 2004, Les éditions Mélonic