Texte de tristesse

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Texte de tristesse en ligne

Nous publions en ligne votre texte de tristesse afin de rendre visible votre création. L'objectif de ce texte a pour but d'informer, de présenter ou de motiver les gens concernant le sujet défini.

Nous vous invitons à nous envoyer votre texte de tristesse ou votre compositions afin de les insérer sur notre site et ainsi les partager avec les gens qui pourraient les lire et en avoir besoin.

 

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Nos derniers textes

 

Texte de Neverland

Ce n'est pas ma faute

Parfois j'aimerais être malade.
Pour avoir une vraie raison.
Une raison de me plaindre, d'être triste, d'être mal. Une raison à mes silences et à mon impuissance.
Une raison qui me permettrais de répondre à ceux qui me le demande : je suis malade.

Je m'invente des symptômes qui deviennent réel.
Mais la vraie maladie comme je la veux, elle est absente.
Dans deux jours exactement je vais avoir 18ans. Et à deux jours de mes 18ans j'ose dire de pareilles horreurs.
18 ans. L'age de la maturité où l'on devient responsable.
Certaine à mon age ont un copain, un travail, ou un bébé. Parfois même les trois.
Et moi, je veux être malade. Un vrai maladie qui me tuerait à petit feu afin que ce ne soit plus moi la responsable de ma lente mort.
Me déresponsabiliser, encore une fois. Comme une petite fille qui craint d'être punie.
Ce n'est pas - ma- faute.
C'est ma maladie, si je suis comme ça. C'est à cause d'elle si chaque jours je meurs un petit peu, pas la mienne.
Alors que des tas de gens meurent de faim, de violence ou de maladie, parfois même les trois, moi, je suis en parfaite santé.
La vie est mal faite, je l'ai toujours pensé. Et je voudrais tellement être à leur place pour qu'eux prennent la mienne.
C'est un gâchis. Egoïste. Je le sais.
Mais ce n'est pas - ma - faute.
C'est la faute à mes mains, mes jambes, ma tête, ma bouche qui ne m'appartiennent pas et s'éloignent toujours un peu plus de mon idéal. Mon idéal de vie. Cet idéal pour qui les gens se battent jour après jour.
Moi j'en ai plus la force, plus le courage. Les gens malades l'ont. Volonté plus forte encore que chez les gens en pleine santé. Cette envie de vivre pour pouvoir réaliser ses propres rêves...
Moi je n'ai pas de rêves.
Et c'est pour ça que je ne suis ni morte, ni vivante. Juste perdue entre les deux, à la dérive.
J'ai besoin de cette volonté.
Et c'est pour ça que je voudrais être malade. Pour pouvoir enfin dire :
Ce n'est pas ma faute si je suis morte.

 

 

Texte de Paradise City

Je pleure quand je suis triste mais ne pleures pas pour moi je vais bien et si toi aussi tu pleures, je connais ce fait qui nous hante et toi qui nous surveille, qui nous guide vers le bonheur, est-ce que tu l'a ? En tout cas, je connais le malheur et je ne te le donnerai pas, c'est ça qui me rend si triste et c'est donc pour ça que je pleure.

**********

Je suis triste car j'ai trop de malheur dans ma vie, mais pourtant, j'aime ça, ça donne du mystère à la vie.
 

 

 

Texte de Dark Princess

Derrière mon sourire se cache une profonde tristesse.
Je n'ai plus envie de me battre, plus envie de m'accrocher à la vie.
Je ne veux inquiéter personne, je ne veux pas faire souffrir
alors je continue à sourire, je continue de faire semblant.
Je ne m'accroche plus qu'à une seule chose,
ne pas décevoir ceux qui m'ont tant apporté.
J'espère seulement y arriver...

**********

Si la vie te déçoit et ne vaut plus la peine d'être vécue, si tu n'as pas le courage de te suicider, relèves la tête et fais semblant, tu n'as plus rien à perdre.

**********

Je n'ai plus d'espoirs, plus d'envies.
Je ne sais plus être moi,
je ne me reconnais plus.
Qui suis-je ?
Seul le sentiment d'une insatisfaction demeure inlassablement en moi.
Mon coeur et mon esprit sont sans cesse en collision.
Comment me sortir de là ?
Je ne sais pas.
Je suis lasse de tout ça.
Je ne veux pas vous inquiéter.
Je dis ça
mais je ne sais pas si vous vous souciez de moi.
Tant pis, dans le doute je continuerais de porter ce masque,
j'essayerais de ne pas crouler.

**********

La situation s'arrange je crois.
Ma tristesse n'est pas partie.
Peut-être est-elle ancrée en moi.
Toujours est-il que je ne m'en défait pas.
Je suis prise au piège dans mon désespoir.

**********

Je m'enfonce chaque jour un peu plus.
Je suis déjà bien bas.
Je voudrais arrêter de tomber
mais je ne trouve rien pour m'accrocher.

**********

Je suis plutôt entourée mais je me sens toujours seule. Vous ne semblez pas voir la gravité du problème ou peut-être pensez-vous que je joue la comédie. C'est bien dommage que je n'ai pas le courage de me suicider, peut-être que là vous auriez compris. C'est dur de se dire qu'on a envie de partir mais qu'on n'en a pas le courage. Ce manque vient aussi du fait que je ne veux pas que vous souffriez, je sais comme ça fait mal le désespoir, le doute, la tristesse, la lassitude,... Je n'infligerais jamais ça a personne même à mes ennemis. Se perdre dans ses sentiments, douter de soi et de ce que l'on ressent, se désespérer de réussir un jour à être heureuse... Tout ça c'est une souffrance qui vous ronge de l'intérieur souvent sans que personne ne s'en aperçoive. Je m'en veux pour beaucoup de choses. Je m'en veux d'avoir pensé à fuguer, je m'en veux de m'emporter contre les gens que j'aime, je m'en veux de ne pas être à la hauteur de vos espérances, je m'en veux de vous avoir laissé tomber, je m'en veux de ne pas réussir à me racheter, je m'en veux de vous dire que j'ai l'impression d'être seule alors que vous m'entourez, je m'en veux de m'autodétruire sans rien pouvoir faire, je m'en veux... je m'en veux tout simplement ! Je ne sais pas si j'arriverais un jour à être heureuse, je ne sais plus vers qui me tourner.



mariedal09@hotmail.fr
 

 

 

 

       

 

Mise à jour ; 12 mars  2005   Copyright © 2004, Les éditions Mélonic