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derniers poèmes |
Poème de Nathalie Agomeri
Berceuse
Par une douce nuit étoilée
Nimbée de rayons lunaires
La constellation de la Lyre brille
D'une note irisée de trilles
Illuminant le ciel de ses filages
Dans un pur chant élégiaque.
nathalie30n7@excite.com
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Poème de Nathalie Agomeri
L'amour de l'art
Lorsque les notes s'éveillent
D'un long et paisible sommeil
L'amour ainsi que l'émotion
Elèvent nos âmes en perdition
Et nous révèlent à nous-mêmes
Qu'il n'y a qu'un art suprême
La musique
Mystique
nathalie30n7@excite.com
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Poème de Ava
Unis vers
Les prémices de ce voyages me laissaient
envisager ce flou.
Mes bras lestés peinent devant ce rêve devenu trop court.
Le bout de mes doigts pleure ; ce qu'ils ne peuvent atteindre
Mains tendues, j'ai cru un instant pouvoir vous rejoindre.
Mon rêve m'envole ; vers ce nuage blanc cotonneux,
Perché, j'étreins mes désirs dans ce confort laiteux.
Je sublime cet entre deux, que l'univers tend de ces cieux,
Tour à tour je baisse la tête, lève les yeux.
De cette belle terrienne ou fascinante galaxie,
Je ne peux choisir entre l'émoi qu'offrent celles-ci.
Belle Terre, petite bulle,
Aérienne, telle une plume,
Dans l'immensité des vents,
Tes ballets incessants caressent le temps.
Tourne l'espace, viennent les nuits
Mon regard s'étend et je m'enfuis.
Aux âmes nébuleuses ;
Eblouissantes et généreuses
Je viens à vous, tout me fascine
Vous m'accueillez et je m'incline.
O mon nuage blanc cotonneux
Je sens mon corps s'éloigner vers eux
Mon âme s'élève ; flottante,
Dans l'immensité des vents.
Vers l'infini... le bout de mes doigts pleure ; ce qu'ils ne peuvent
atteindre
Mains tendues, j'ai tant cru un instant pouvoir les rejoindre...
val.maio@orange.fr
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Poème de Admiley
Princesse
Je regardais dans le ciel
J'ai entendu la voix de L'Eternel
Qui m'a dit ma Fleur tu es belle
Belle comme la couleur de l'arc-en-ciel
Ta couleur resplendissante
A fait de toi une femme charmante
Et une femme ravissante
Si les oiseaux ont des ailes pour voler
Il faut que tu saches, moi j'ai un coeur pour t'aimer
Et un cour pour te consoler.
staleylove2000@yahoo.fr
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Poème de Abdelkrim
Le devoir sur la richesse
Que serait la terre,s'il n'y avait pas
d'océans,
Et que serait ma chair,si je n'avais pas de sang.
Ainsi est faite l'humanité,
Si ce n'était trop d'inégalité.
L'eau ne fait que revenir à la mer,
Ainsi les hommes peuvent chasser la misère,
En respectant le devoir sur la richesse,
Que Dieu a ordonné avec sagesse.
Gloire au Seigneur,
Créateur des cieux et de la terre,
Qui prodigue avec largesse,
Récompense les bienfaiteurs,
Et comble de louanges ses adorateurs.
L'attachement aux biens terrestres,
N'engendre que mal et désastre.
Et la peur des lendemains difficiles,
Rend l'âme perverse et vile.
b_halwess@yahoo.fr
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Poème de Fofopuce
L'art
L'art en lui même ne veut strictement rien
dire,
C'est au travers de ses yeux,
Que l'on peut en dire,
D'une chose si merveilleuse.
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Poème de Nanou
Noël
Noël
Tu as été
Tu es
Tu resteras
Au fil des ans
Pour les enfants
Celui qui apporte
Par la cheminée
Bonheur dans les foyers
Noël plus beau jour de l'année
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Poème de Lounis
Dans le ciel du songe
Dans le ciel
Du songe
L'ange
Fait la course à un nuage
Sans craindre le vertige
Sur les branches
Les oiseaux s'éparpillent
Comme des mouches
L'air a prit sa douceur
Et l'aube
Dévêt la nuit de sa robe
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Poème de Lerossignol
Toi mon ami (e)
Le parfum des mots que tu prononces
Un espace clos que tu traces
Le poème est merveilleux s'il parle de toi
Les oiseaux du paradis sur leurs tiges te chantent,
Et je ne sais quoi faire de ce silence
Qui tresse en moi des mots étranges de folie
moh_hoc2006@yahoo.fr
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Poème de Bégonia
Ce blanc, symbole de pureté
Et emblème de la connaissance
Ce blanc, synonyme de paix
Représente-t-il l'innocence
Mais au-delà.
Je lis dans une page blanche
La morose d'une plume anéantie
Tel le bleu d'un ciel étanche
Avare de la moindre pluie
Observez-la
C'est une page paressant neuve
Un gîte d'inspiration pure
Seulement, ce n'est qu'une veuve
Désertée de toute écriture
Je n'en veux pas
D'un tel mutisme blanc comme neige
D'un si fade et large océan
Sans profondeur ni âme qui y siège
D'un cahier hanté par le néant
Ce peintre la
Pinceau à la main, sans réfléchir
Aborde sa toile avec passion et audace
N'espère qu'une chose : la remplir
L'entame par un trait qui devient un palace
Et ce poète la
Grâce à un titre suspendu
Bien souvent mis en attente
L'âme poétique est réapparue
Elle respire, elle rature, elle invente
Ne meurs pas
Viens peindre ce blanc avide
Fais gicler l'encre sans modération
Abreuve par tes mots cette page aride
Atténues l'impertinence de ce blanc
Ha ! J'aime mieux ça.
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Poème de Valérie Bergmann
Balade équestre
Au secours Gemini va trop vite !
Il a fière allure, mon symbole à la noblesse incarnée
Sur les chemins communaux entre deux villages provençaux
Il a fière allure, mon Seigneur, mon animal au pas cadencé
Son regard comme une armure, dessine ses peurs que le galop dissipera
plus tard
Pendant que sur son dos, ma vie collée à la sienne, revêt son apparat de
Parménide
Gades moi encore sur ton dos, le temps d'une cavalcade où mes pensées
prendront forme, sans plus de retard,
Dans la nature froissée d'un automne à peine amorcé, pas même humide,
le soleil abonde, je me délecte, la nature est en fête
Qu'il est doux de trotter, cheveux aux vents, vie libérée, infiniment !
Je frôle enfin la Lumière, où mes alleux promènent leurs âmes à l'abri
d'un Olivier
Qu'il est doux de galoper sans nulle autre arme, au hasard des champs et
des vignes, de ce que la terre a gardé de plus digne.
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Poème de Leucosia
Un jour tu me demanderas
pourquoi je ne souris pas
Tu me demanderas pourquoi je suis malheureux
Tu me demanderas pourquoi je ne suis pas avec eux
Tu me demanderas pourquoi je ne peux être sans toi
Mais qu'est que le sourire ??
Je ne veux pas d'un sourire mécanique
Je ne veux pas d'un amour utopique
Je voudrai avoir envie de vivre
Je ne veux pas de la trahison
J'aurai aimé un sourire
Je ne veux plus d'illusions
Ne plus être dupe des apparences
Pourquoi blâmer ce miroir
Il ne reflète que la réalité
Un sentiment qui fait mal à voir
Mais c'est tout ce que j'ai...
leucosia@hotmail.fr
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Poème de Dessin
Au cours du
temps
Le temps n'est qu'une suite de
fait
Des gestes, paroles plus dures que des lames
Des pensées que rien ne peut consoler
Des regards qui pénètrent l'âme
Passer la nuit les yeux ouverts
A prier pour que les choses s'arrangent
Puis fermer les paupières
Laisser faire les anges
Rêver de chutes éternelles
Débris de futur tourmenté
Par les cris qui s'emmêlent
Et les peurs outragées
S'éveiller sans repère
L'esprit morose et le cour lourd
Se faire ignorer pour se taire
Rester seul, toujours
Vivre par les souvenirs passés
Puis se sentir à part
Délaissé sans regret
Confié au gré du hasard
Subir les confusions, la violence
Nourries d'injures et de coups
La colère puis ce maudit silence
Redouté plus que tout
Le besoin de déchirer, de mordre
Déverser la haine tout autour de soi
L'envie d'écraser tous les ordres
De pleurer pour une fois
Estimer le délire
Pour perdre le contrôle
Puis finalement se retenir
A la douce pensée qui frôle
Essayer de se calmer
D'enterrer les paroles impures
Tomber puis se relever
En dépit des blessures
Tenter de sourire à soi-même
De se créer le bonheur
Chercher l'innocence blême
Apaisant le doute, la douleur
Puis vivre dans l'absence
Avant le retour des ennuis
Comprendre ce qui n'a pas de sens
Et accepter l'incompris
Vouloir briser ses chaînes
Ecarter d'un coup les barreaux
Sauter les barrières sans peine
Renaître à nouveau
Devenir pourtant moins fort
Et demeurer victime de l'injustice
Pour voir au-delà de la mort
Supporter les sacrifices
Attendre que le jour s'achève
Dans des heures qui hantent
Prier pour que la nuit soit brève
Rêver d'être transparente
Telle est ma vie depuis deux mois
On peut la comparer à un long tunnel
A unique sens et ultime bonne voie
Où personne ne répond à l'appel
Devant moi la lumière
Qui jaillit au loin à travers cette prison
Je tends les mains vers l'éphémère
Je marche à reculons.
Sélima
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