Poème imagé, page 4

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Nos derniers poèmes

 

Poème de Émi970325

Métafores

Comme la plus belle des fleurs,
tu fleuris dans mon coeur,
en éblouissant de bonheur,
tu embellis chaque heures.
 
Comme cette plume dans ma main,
tu écris ce refrain,
Et avec bien sur,
La plus belle écriture.
 
Comme un soleil qui ne cesse de briller,
tu éclaires mes journées,
Aucun nuage ne peut te cacher,
Je t'aimerai pour l'éternité.
 
Comme la plus gentille princesse,
Belle et douce, comme un déesse,
Je veux te remercier pour tout,
Et que tu vois ça m'a rendu où.
 (en positif, bien sur!)
 

 

 

Poème de Evelin Phichith

Paksé

Obscurité, ronflement et silence
La ville se lève, se tend
Elle frotte ses yeux
Elle secoue sa crinière
Une femme fatiguée, Paksé.

Elle se lève, vacille
Couverture mal aérée
Cette bête, cette sauvage
Aux cheveux ébouriffés
Plein de taches son visage
Que de poudre elle cache,
Car vaniteuse est elle, Paksé.

Elle réveille ses gens
Riches, pauvres, jeunes et vieux
Petits comme les enfants
Et elle, grande, est
Triste et heureuse, Paksé.

Et tous les jours la même scène
Bruit, stress, l'agitation
Chacun occupe de soi même
Radios, son de télévision
Et on pousse, on bouscule dans la foule
Et roule encore, roule
Paksé.

Et le soir, on n'a qu'un seul désir
S'allonger et dormir.
Alors tout recommence
Obscurité, ronflement et silence
C'est l'album souvenir, Paksé.

 

 

Poème de Peridromie Amphinome

Pauvre expiration

La beauté enfermée, dans une claire cage,
Dont la lumière éclatante et artificielle,
L'a domptée et lui a fait contenir sa rage,
En la privant de l'écarlate clarté du ciel.

Une note impalpable, vive, courte, ondoyante,
Tel une chauve-souris, dans une grotte blanche,
Aveugle, ne trouvant la sortie, tombe mourante,
Aux pieds de ce roc tranchant qui la fauche.

Pauvre captive dans ton linceul de marbre,
De plâtre ou d' argile pour pouvoir être antique.
Malheureuse et difforme femme au teint macabre,
Exposée mise à nue à ces yeux critiques.

Tu gis dans cet étroit cadre sur cette brune toile,
A l'huile, a l'aquarelle tu restes immobile.
Campagne sans air et créature sans poils,
Le monde t'observe le spleen remuant la bile.

Tu  prends la fuite, le Spleen ton allié,
Qui hait l' air niai des hommes faussement hypnotisés,
Te laisse rentrer dans ton espace approprié,
Et s'insinue dans le chef d'oeuvre composé.

bird_land@hotmail.fr

 

 

Poème de Dr Elie K Mangoubi

Le message du poète

Ton message de poète, d'auteur
Nous rend rapidement rêveur.
Reçu par le lecteur, en vers ou prose
Disant que la vie n'est pas toute rose
Ou morose et par tes mots mélodieux
Nous parlant de patrie, de Dieu
De la famille, des enfants, amis
Des guerres, de nos peurs, la vie
Et de multiples autres sujets
Joyeux, pénibles ou abjects
Tu réveilles nos émotions
Au rythme de ta création
Organisés en une valse de vers
Nous prenant rêveusement à travers
Tous nos sentiments, pensées
Vers des horizons espérés.
Que tu nous fasses rire ou pleurer
Méditer, philosopher ou songer
Tu exprimes nos sentiments
Dans un monde de tourments.
Tu nous remues, émeus, attendris
Par ta poésie, harmonie, magie
Tu es notre délicieux remontant
Qui fait vibrer l'âme à tout moment.
 

 

 

Poème de Dr Elie K Mangoubi

Le Caire

L' unique Om El Donya
E l Azhar, ses minarets
C itadelle, religieuse charismatique
A rdente, tumultueuse, énigmatique
I nserée sur le delta du Nil
R eigne sur les Pyramides, ville
E lixir d'opium.


L e Caire passé et présent
E nsemble défini par le temps
C léopatre y régna
A lexandre y séjourna
I mpér!al Sphinx, ville
R êverie sur le Nil
E popée illustre.
 

 

 

Poème de Dr Elie K Mangoubi

Bruxelles

Belle, millénaire, dame cultivée
Riche en tradition, beaux musées.
Unique , opulente, tolérante
Xénophobe sûrement pas,
Et fière de son incomparable parure
La Grand-place, perdure
La nuit des temps.
Elle se veut tous les jours
Sereine, accueillante, pacifiste,


Le coeur de la Belgique et l'Europe.
 

 

 

Poème de Dr Elie K Mangoubi

Alexandrie

A ucune ville ne lui ressemble
L 'Alexandrie de mon coeur
E space de bonheur, infini bleu
X éranthème, immortelle annuelle
A ltière séduisante, belle.
N énuphar au parfum iodé
D iversifiée, animée, cultivée
R assurante, charmeuse, adorée
I mmortelle, éclatante, sereine
E mouvante cité méditerranéenne.

 

 

Poème de Fatiha Selles

Cache-cache de bonheur

Je déshabille le coeur en douleur
Je me dis où est mon bonheur
J'ai pensé à ça tout le temps et toujours
Et je me repends et mon principe est le donneur
La clé de bonheur est dans ma main n'est pas ailleurs
Mais je le cache et je l'ignore encor et encor
Pourquoi je ne mets pas dehors
Tout le noir qui est dans mon cour sans retour
Et je tue sans réfléchir ce voleur
Je me rassure le cour en douceur
Et je le rends comme une fleur
Qui donne de bon et de fraîcheur
Je le rends une Bougie d'honneur
Pour éclairer  les nuits et abordé le plaisir
Je le rends un roi qui dessine le sourire
Sur tout visages et gagne le pure amoure
Je le rends une pierre en bonne odeur
Qui dans tout points de terre garde sa valeur.


  « L'abeille de ciel qui reçois le mal et donne le miel. »

nani_fati22@hotmail.com
 

 

 

Poème de Poemely

Petit jardin fleuris,
beau et tendre paradis,
niché au creux de la terre,
tu es courageux et fière!

L'ombre du cyprès,
Te fais une belle destinée,
Le chêne et le roseau,
Un super tableau.

Jonché au milieu de ta beauté,
S'élevant, haut et fort,
Le plus somptueux des palais,
Si fascinant ai le décor,
Que tendrement, j'en rêve encore!!

ely.tv@wanadoo.fr
 

 

Poème de Stef

Le Père Noël est mort

Le Père Noël est mort car il ne distribuait des cadeaux qu'aux
enfants riches...
Comme un dictateur déchu, sa dépouille a été exposée Place du Pognon, à Paris, aux côtés des nombreux jouets qu'il n'avait pas eu le temps d'acheminer...
Chaque enfant pauvre s'est généreusement vengé de tous ses semblables en le canardant de cadeaux divers...
Pâte à modeler dans les yeux, petites voitures projectiles, intifada de billes et autres boulards, amputation de la barbe; puis pour les plus âgés d'entre eux, lapidation aux bouchons de Champagne,foie gras sur la tête ( les deux piliers du cérémonial festif copieusement détournés ), déguelis, urines et selles à tout va (inévitable conséquence de l'aversion, du dégoût généré par ce guignol, une incontinence de nausées existentielle, pour noyer dans l'ignominie ces souvenirs nauséabonds, ces relans fétides, avec la fierté d'un rot et la puissance d'un pet...).

Un vulgaire trognon, Place du Pognon, voilà ce qu'il restait de ce pantin rouge et blanc,qui du rouge d'ailleurs, ne conservait que le sang qui commençait à cailler sur son ventre bedonnant...

Les Noëls suivants, on ne vit plus de décorations de Pères Noël, escaladant les fenêtres, dans les jardins des maisons, aux coins des rues, mais plutôt des Pères Noël pendus, crucifiés ou décapités...
Sabres, clous, cordes comme accessoire, la barbe noire et... le sapin... vous savez où?!...
Pour leur en boucher un coin... et pas de paradis!...
Que de souvenirs épineux dans les annales!...

La tenue qu'ils portaient a désormais quelque peu changé; le rouge a viré, le blanc pur s'est apeuré et c'est en noir qu'ils sont aujourd'hui représentés...
Cette couleur en moins pour ne pas oublier ce qu'il s'était passé un soir où les enfants avaient fait leur Révolution en tuant la Pensée Unique qui leur était imposée...

Longtemps raisonnèrent leurs hymnes rebelles dans les champs guerriers...:
"A dégager le chaperon rouge et vous tous ses narrateurs, ne nous dessinez plus de moutons, libérez nos loups et sentez nos crocs pénétrer en vous, comme un venin vengeur, un vent de liberté fou..."
"Tu nous trompes, on te ligature, avec toutes ces guirlandes, nous qui des cadeaux n'avons pas connu la nature, terminé, ce n'est plus ce système qui commande et nous n'en serons plus jamais les ratures..."

Fort de cette expérience, la rumeur se répandit selon laquelle ils pourraient maintenant s'attaquer à Dieu...

Par prudence et pressentant quelques dangers sur sa personne,
le Pape à Noël s'est enfui... Etonnant, non?!...

stefcarrasco@hotmail.fr

 

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