Nos poèmes tristes, page 7

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Nos derniers poèmes tristes

 

Poème de Tony8

Une petite pensée sur l'amour,
Je vous présente en ce jour,
Voici le fond de ma pensée,
Bien que certains ne vont pas aimer.

Voila, en partant du principe,
Que normal, je suis un type,
Qui peux tomber amoureux,
Et atteindre les cieux.

J'imagine la femme que j'aimerais,
Et je pense alors à ses intérêts,
Qui en moi ne se trouverait,
Et qu'alors son temps elle perdrait.

Si j'étais amoureux d'une femme,
Je voudrais qu'elle soit Dame,
Qu'elle soit avec ce qu'il y'a de mieux,
Je ne ferais alors pas partie du jeu.

Je voudrais la voir heureuse,
Mes avec moi, serait peureuse,
Je préfère qu'elle aille vers un autre,
Qu'ils partagent une vie que je croyais nôtre.

Je t'aime et je te vois parfaite,
Mais je ne suis pas de cette fête,
Car je te fais perdre ton temps,
Avec moi, il n'y aura que le néant.

Aucune personne ne me mérite,
Vous allez bien trop vite,
Quoique vous ayez pu faire,
Vous ne connaîtrez pas mon enfer.

C'est ainsi que je vous dis,
Ce qu'au fond je suis,
Un homme qui ne sera jamais,
Car m'aimer, je ne permettrai.

big_ben8@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Youness

Perdu dans la nature

Des mots, des phrases. Ils rient 
Je hurle ma malchance 
Des yeux, des murmures. Ils continuent
Je surprends ce mal d'existence

En plein bruit
J'écoute mon silence
Je m'échappe, je m'enfui
Je vis ma souffrance

Tant que j'ai subi
J'attends ma part de chance
Celle pas de la vie,
Elle souffre sa carence

Rien de mon puit
Peut ôter mes tortures
Aussi pas d'autrui
Même ce qu'ils procurent

En plein bruit
Je m'oublie en futur 
Je cherche je poursuis  
Un Perdu dans la nature.

Un prélude concis d'histoire
Qu'on ne connaisse pas la fin
Les protagonistes sont des soirs
Des jours, et surtout un destin

Un destin, sans rival
Mais  je défiais en orgueil,    
Il m'était ennemi natal
Et j'en fermais un oeil.

Je me servais de patience
De jouer l'indifférent, 
Des années s'avancent
J'avançais au plus fond

D'un mal au pire
Je balançais entre ses mains
J'étais un navire
Et il était le marin

Et je n'y étais pas contre,
C'est mon destin
Pourtant ce qu'il montre
N'avait qu'une seule fin

Je rêvais des certitudes
Des gens, des images
Des voies au nord, au sud
Une porte, Plusieurs passages

Je lui consacrais des nuits
En pensant, pleurant
Je lui dédiais ma vie
Il m'a lâché au vent 

Mon histoire, ma tragédie
Mon angoisse, sa gloire
Sa vie, sa mélodie
Et je vivais en noire.

rocker_boy111@hotmail.com
 

 

 

Poème de Vengeur Masqué

Toi, qui n'es inspiré que par des holocaustes,
Des corps déportés et des chairs calcinées,
As-tu vécu ces heures, survivant de l'horreur;
Pour être fasciné par ces sombres années?

Que t'ont fait ces poètes pour que tu les méprises
Au point de t'emparer de ce peu qu'il leur reste
Quand ils ne sont que cendres, os blanchis et poussière?

La mémoire de leur oeuvre, c'est un peu leur survie
De quel droit oses-tu t'emparer de leurs mots
Comme s'ils étaient tiens?

La souffrance de leur vie n'est elle pas suffisante,
Il faut que dans leur mort, tu les tourmentes encore
A venir dépouiller, pour quelle raison, au fait?
Ces magnifiques poètes de leurs si belles oeuvres...
 

 

 

Poème de Margaux

j'ai eu le coup de foudre,
et cela c'est réduit en poudre,
j'ai flasher sur toi,
malheureusement notre amour s'en va,
cela avait bien commencé,
mais sa c'est mal terminé,
j'avais cru en toi en notre amour,
apparemment amour ne rime pas avec toujours,
ça n'a pas duré,
tu ma laissé tombé,
j'ai peur de ne pas pouvoir me relever,
j'ai peur de m'effondrer,
il faut que je remonte à la surface,
je je retrouve ma place,
ma hantise c'est d'être seule,
seul est faire une bêtise,
je ne peux pas vivre sans toi,
ton visage est gravé en moi,
il faut que je t'oublis,
que je pense à moi à ma vie,
ET CE TEXTE C'EST MOI QUI TE L'AIE ÉCRIT !!!!
 

 

 

Poème de Sadness

je tourne en rond
dans ce monde de con
je danse pour oublier
et j'oublie d'arrêter
oublier le mal que j'ai fais
et celui qu'on ma fait
oublier les jugements que j'ai porté
et ceux qui m'ont été adressé
mais je suis un être humain
dans ce monde inhumain
oublier que j'ai peur
effacer la rancoeur
vivre par amour
chaque jour
 aimer un amour ou une amitié
oublier de vivre dans le sombre
d'avancer dans l'ombre
accepter la vie tel qu'elle vient
et suivre son chemin
les rimes me viennent avec évidence
mais pour vous il ne seront qu'indifférence
continuer de rêver
d'un monde meilleur
un monde ou l'amour ne tue pas
ou on avance pas a pas
sur un fil en or
jusqu'a la mort

**********

j'ai oublié ce temps
où tu m'as détruit
j'ai tout effacé
je me suis reconstruit
je reprend confiance en moi
pendant que toi tu baisses les bras
tu l'as cru
j'ai rien pister, rien vu
t'as cru que je te trompais
pendant que moi jtaimé
tu faisais mon bonheur
t'as briser mon coeur
à croire que tu voulais juste un coup
pendant que moi jte donnais tout
tu m'enfoncer; tu m'écrasais
tu m'étouffais t'as tout cassé
tout ce temps perdu
où  j'ai cru
que l'amour m'avais touché
je sais jme suis trompé
j'en ai eu finis là
pour ne pas tomber plus bas
je me suis sentit trahi
briser à l'infinie
je ne suis pas comme tu pensais
je ne perd presque jamais
voila j'ai réussi
je revis
t'as échoué
t'as plus qu'a m'oublier
 

ze_moa0705@hotmail.com
 

 

 

Poème de Yazm!le

Seule

Quelqu'un peut m'aimer?
Dans la solitude noyée
Resterai-je comme ça à l'éternité?
Quelqu'un me sauvera-t-il de l'obscurité?
Je suis perdue dans ce monde sans pitié
Pas même un regard pour vous faire espérer
Que la vie peut changer
Pleurer à longueur de journée
Pas même une personne pour vous aider
Je suis trop crevée
D'essayer de comprendre la réalité
Si seulement quelqu'un pouvait
M'aider à m'évader

enimsay_22@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Emmanuelle

Mamie

Tu étais la douceur même
Par ta gentillesse tu donnais

Tant d'amour tu avais
Pour tous ceux qui t'approchais

Tant donné pour toutes ses années
Depuis le jour où tu es née

Où certains te l'ont renvoyé
De ta bonté tu leur à donnée

Pour tout ceux qui t'ont tant aimé
Mais un jour tu t'en es allée

Et tant de monde pour toi ont pleuré
Que jamais on ne pourra t'oublier

Pour toi Mamie que j'ai adoré
Que là ou tu sois repose apaisée

emmanuelle01@msn.fr <emmanuelle01@msn.fr>
 

 

 

Poème de Emmanuelle

Pour toi

J'ai rêvé d'un jour nouveau
Où tout serai devenu beau
Une mélancolie m'envahie
Je me réveille et tout est triste
Triste de me voir dans ce miroir
Ne plus savoir où est mon désespoir
J'avance mais dit moi pourquoi
Ce sentiment de mal être ne part pas
Que ces journées s'écoulent
Que ces jours défilent tous
Que cette journée devenue noire
S'éloigne et réapparaisse pleine d'espoir
A ne plus avoir de chagrin
Pour celui qui s'en ai allé loin
Mais ne peux m'empêcher d'y penser
A celui qui à tellement compter
Comment faire pour que mon mal être
Que cette peine au fond de moi disparaisse
Je ne peux m'empêcher d'y penser
De penser à toi et d'en pleurer
Un jour peu être ma peine partira
Mais tu seras toujours au fond de moi
Toi qui un jour à décidé d'en finir
"A toi mon frère qui est parti"
 
Ta soeur qui ne cessera de penser à toi

emmanuelle01@msn.fr
 

 

 

Poème de Margaux

Et alors... Que reste t-il de nos vies? Quand tout ceux qu'on aime sont partis...
Ceux qui hier, nous disaient encore qu'ils ne nous quitteraient jamais...
Ceux avec qui la vie semblait plus belle...
Vous qui m'avez oublié aujourd'hui ,vous qui m'aviez promis, qu'on s'aimerait pour la vie...
Et pourtant je suis désormais si loin que plus rien ne pourra jamais nous rapprocher...

Chacun espère de son côté, mais personne n'essaie de continuer...
Continuer à faire des effort, malgré la distance, malgré la souffrance...
Chaque jour, la distance semble plus dure à atténuer...
Pourtant, les larmes sont bien réelles... Mais on oublie, petit à petit...

Nos rencontres restent au fond de nos coeurs...
A jamais de bons souvenirs recouverts de poussière...
Un peu comme des peluches de notre enfance que l'on ne veux pas jeter..
Alors... Elles restent dans le grenier, ou sur une étagère...
Vieillissants... Mais pas dans nos coeurs...

Même si nous savons que rien ne sera plus jamais comme avant,
Tout le monde garde un peu d'espoir...
Pour que, quand vient le noir, on puisse se dire que nous n'éprouvons pas de regrets...
Même si l'on se ment à soi-même...
La vie continue...

Et l'on se croit chaque jour plus fort...
Le vide se fait dans nos mémoires...
Malgré la tristesse et les coups de blues...
Nous avancerons toujours sur la grande route de nos destins...
Qui parfois, sans le vouloir, se séparent...

*******************************

La nuit profonde m'engloutit dans son lourd manteau.
Autour de moi tout s'éteint sans un seul mot.
Je n'aurais jamais cru qu'il fasse si triste et si noir,
Lorsque tout est fini et qu'il n'y a plus d'espoir.

J'avais toujours eu foi en la vie,
Cette lumière jaunâtre qui faisait qu'ici,
On se trouvait mieux que n'importe où ailleurs,
On ne connaissait pas l'antonyme du mot bonheur.

Les gens passent et repassent encore une fois,
Je me sens tellement inutile parfois,
Cette impression que personne ne me regrettera,
Et que ma place ne se trouve pas vraiment là.

Le sang bat à mes oreilles blessées par les autres,
Si je suis si malheureuse c'est bien leur faute,
Mon coeur est engourdi par le froid de leurs paroles,
Et en mon monde intérieur je me sens devenir folle.

Je marche dans la rue du lycée,
Il pleut, il fait froid, et j'ai envie de pleurer,
Je crois que la vie continuera encore,

******************************

Nous nous sommes aimés, nous nous sommes haïs,
Nous nous sommes perdus et tu m'as trahi.
Je pensais que nous deux c'était pour toujours,
Qu'il n'y avait pas de fin à l'amour.

J'avais toujours été là pour toi,
Moi ta fleur celle qui te donnait tant d'émois.
Mais chaque photographie où apparaît ton visage,
Me fait désormais l'effet d'un orage.

La foudre,la grêle, le vent et l'eau,
Tout ça à l'intérieur de moi et sans un mot,
Je sens la flamme de mon existence faiblir,
Chaque jour j'ai davantage envie de mourir.

Mais un jour tu es revenu,le coeur repentant,
Des excuses, est-ce que ça te fais du bien quand tu me mens?
Tout ça, notre amitié, balayée par des paroles en l'air,
Mon âme depuis longtemps est devenue désert.

Je crois que c'est ça qui m'a fait le plus de mal,
Que tu reviennes comme ça,comme après la quête du saint Graal,
Sans autre explication qu'un banal pardon,
Moi j'ai juste envie de t'oublier,pauvre con.

Mais ton image continue de me hanter,
Même si aujourd'hui j'ai parvenu à te remplacer,
Je te dis merci pour tout ce que tu m'as donné,
Et aussi tout ce que tu m'as arraché...

******************************

Feuilles qui glissent lentement, dans le vent de Septembre.
Frissons qui nous parcourent dans chacun de nos membres.
Fragile sensation qui va, vient, nous échappe.
Frémissant tourbillon qui peu à peu nous happe.
Comme un coeur qui brusquement s'arrête.
Cessant contre cette douleur de tenir tête.
Caressant et brisant nos plus doux espoirs.
Collant à nous nos idées les plus noires.

Un rêve, une illusion, une amitié désagrégée...
Une enfant seule qui ne peut s'empêcher de pleurer...

C'est la solitude qui à elle seule nous casse.
Ce n'est que l'habitude qui fait qu'on nous ramasse.
Cet oiseau noir qu'on a voulu chasser si souvent.
Cette tristesse revient comme au gré de ces vents.
Malgré l'obscurité qui frappe à notre porte brisée.
Mon âme vaincra-t-elle cet exil forcé?
Ma lumière se rallume et s'éteint encore.
Ma dureté n'aura pas malmené la mort.

*************************************

Loin des cris près de la glace translucide
La où le sang coagule lentement dans le froid
L'air s'étale, pur et frais dans les plaines arides
L'espoir ne fait plus parti de moi.

Tapie au fond de mon corps, meurtri et gelé
Règne un monstre au coeur de pierre
Qui par les rayons du soleil une fois réchauffé
Fait que les réjouissances se terrent.

Le monstre est en moi, faites le sortir, faites le sortir, faites le sortir
Je veux brûler, je veux être transformée en poupée de flamme
Faites sortir le monstre gris, la bête aux doigts crochus qui m'empêche de respirer
Qui s'accroche en mon sein comme un parasite terrifiant
Carbonisez mon âme déchue, déçue par tant de solitude sur cette Terre solitaire
Détruisez la noirceur de mes cauchemars, le bonheur âpre de mes rêves
Une folie au plus profond de moi, me dévore de l'intérieur
Libérez moi de l'insecte grouillant de ma névrose
Osez frapper sur mon visage repoussant d'animal perdu
Osez...

***********************************

Ce sentiment qui pénètre en mon corps comme dans un couloir exposé aux vents froids de la nuit, tel le souffle de la mer, soulevant des tonnes d'eau salée.
Et ce contact glacé entre le reste du monde et moi même, désagréable, tellement urticante, piquante, gluante, et je me sens aspirée dans ce cyclone de la peur de l'autre. Le silence m'entoure peu à peu et je reste seule avec ma voix qui résonne dans ma tête.

Et je reste là, à attendre que l'on vienne me parler, alors que je sais désespérément que personne ne viendra jamais... Que je serai là encore et toujours...
Toujours...

***************************************

Et encore un autre jour où la douleur se fait plus intense
Et encore une autre heure où les peurs reviennent
Et encore une autre minute où un bout de moi se meurt
Encore une seconde où l'espoir s'enfuit.

Hé, je suis là, regardez moi, petite fille perdue...

Ecoute ma voix qui crie dans la nuit
Ecoute mon coeur qui bat de façon désordonnée
Ecoute mon sang couler dans mes veines violacées
Ecoute le soleil qui se lève encore une fois.

Hé, je suis là, regardez moi, petite fille perdue...

Exprime ta tristesse et tes doutes
Puisque je suis là pour ça
Parle moi de cette souffrance qui t'habite
Depuis trop longtemps déjà.

Hé, je suis là, regardez moi, petite fille perdue...

Et encore un autre jour où mes pas se font lourds
Et encore une autre heure où la vie s'échappe
Et encore une minute où mon souffle s'arrête
Encore une seconde où je me sens seule.

Hé, je suis là, regardez moi, petite fille perdue...

Ecoute moi chanter pour ne pas pleurer
Ecoute mes cordes vocales vibrer
Ecoute le brouhaha autour de moi indifférent
Ecoute mes sanglots lancinants.

Hé, je suis là, regardez moi, petite fille perdue...

Dis moi ce que tu ressens
Raconte moi ce qu'ils t'ont fait
Encore du mal encore des coups
Des rires qui t'écorchent.

Hé, je suis là, regardez moi, petite fille perdue...

Qui fait attention à une enfant à terre
On ne fait que mépriser ceux qui tendent la main


margaux_evanno@hotail.fr
 

 

 

Poème de Margaux

Connaissez vous la douleur d'un être qui a l'impression de n'être aimé de personne?
Connaissez vous la douleur d'un être qui se sent moche, mal dans son corps?
Connaissez vous la douleur d'un être seul et délaissé?
**********
Entendez vous les cris de souffrance d'une personne qui n'a plus d'espoir?
Entendez vous les pleurs d'une personne qui ne pense plus qu'a la mort?
Entendez vous la colère d'une personne se croyant rejetée par le monde?
**********
Savez vous ce que c'est de pleurer toutes les nuits, tout les jours, toutes les heures...
Elle pleure en silence, dans son coeur...
Ne sachant plus quoi faire pour connaître l'amour avec un grand A....
**********
Ecoutez le bruit de cette personne qui se meurt...
Le bruit d'une morte à l'intérieur...
Le bruit...
**********
C'était juste une fille qui voulait connaître le bonheur...
Maintenant...
C'est trop tard...
**********

margaux_evanno@hotail.fr

 

 

Poème de Audrey49

Regarde enfant le monde
Sans la vie et ses ondes
Qui te parle tout bas
Du temps qui passe et s en va
Tu ne comprends pas tout
Mais tu le ressens en nous
Petits qui voulaient être grand
Qui pour cela deviennent méchant
Tu voudrais changer cela
Tu voudrais agir mais tu ne peux pas
Tu entends leur désespoir
Qui est lancé dans le noir
Tes larmes coules
Pleur car le monde s'écroule
Et que tu es tout seul pour le dire
Et que je suis toute seule pour l'écrire

Audrey Létourneux 18 ans

audrey-letourneux@club-internet.fr
 

 

 

Poème de Margaux

Si tu es là réponds moi
Ne me laisse pas seule comme ça
Pourquoi continuer à sourire
Je n'aspire plus qu'à souffrir.

Sans ta présence tout devient vide
De sens et bientôt un goût insipide
D'essence apparaît au bord de me lèvres
S'insinue comme une fièvre.

Amer est le sentiment de défaite
Etais-je simplement trop bête
Pour comprendre ton petit jeu
Au moins aurai-je fait de mon mieux.

D'une aide j'aurai bien besoin
Merci mais tout est désormais si loin
D'ici de nulle part et d'ailleurs
Un infime souvenir de ces heures.

Ce dernier combat se livre au fond
De mon âme et dans un ultime bond
J'exécute cette dernière danse qui fera office
D'un merveilleux sacrifice.

Puis plus rien enfin le néant
Ce doux et unique espace temps
Où rien ne se passe et s'efface
Où les actes se figent de glace.

margaux_evanno@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Krakotte

Tu es parti sans te retourner.
Tu es parti sans me pardonner.
Tu m'as laissée toute seule dans ce monde si noir.
Je suis seule et je perds tout espoir.
Comment te dire la douleurs que je garde tout au fond de moi ?
Même après tous ces mois, je pleure, pendant des heures.
Tu me manques.
 

 

 

Poème de Aurélie du 01

Envie de crier  tous mes sentiments
Envie de crier se que je ressent
Envie de sortir toute cette souffrance
Juste envie de ne plus souffrir
Et de reprendre confiance
Envie d'oublier ce que l'on m'a fait
Envie d'essuyer chaque larmes versées
Juste envie d'exprimer par écrit
Les moments passés de ma vie

aurelie.rozier@orange.fr
 

 

 

Poème de Caticat31

belle est la rencontre
magnifique est l'union de nos chairs
splendide est la vie à deux
mais descendue de ce nuage
noire et sombre est la rupture!

www.caticat31@hotmail.fr
 

 

 

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