Poème pour soeur et poésie fraternelle

Nous vous invitons à découvrir nos poèmes pour soeur qui sont des créations originales produites par des auteurs qui nous ont envoyé leur poésie fraternelle afin de la partager avec tout le monde et ainsi faire la lecture de texte agréable. Vous avez aussi la possibilité de composer vos poèmes originaux pour soeur et nous la faire parvenir par email pour la publier sur notre site.

 

 

 

Poèmes pour soeur


Poème de Gwendoline B.
À ma soeur


J'ai ouvert les yeux et tu étais là
Tu as grandi avec moi
On s'est chamaillée sans cesse
Et des fois encore, on se blesse.
Mais malgré toutes nos différences,
On s'aime en silence.

Peu importe ce que tu es
Tu fais partie de ma vie
Et jamais je ne t'oublierai
Tu es mon silence dans le bruit.

Je t'aime ma grande soeur,
Et pour toi j'offre mon coeur.
 



Poème de Claire


pourquoi es tu partie avant que je sois née ?
maintenant je vie dans l'oubli et l'obscurité
pourquoi es tu partie en souffrance?
on ne t'a même pas laissé ta chance
ta chance de vivre une vie pleine d'amour et de joie
alors que pour moi c'est peine solitude et désarroi
tu vécu seulement quelques heures
les tiens n'ont pas eu le temps de te donner leur coeur
j'aurais tant aimé que tu prenne ma place
au lieu d'attendre que ma vie s'efface
je n'ai pas eu la chance de t'avoir comme souvenir
c'est pour ça que maintenant je pense à en finir
imagine les choses que tu aurais pu faire de ta vie
rien qu'en pensant aux anges qui t'ont bénît
depuis je n'ai fais que penser à toi
et pourtant en sachant pourquoi
tout ce tant je n'ai fais que pleurer
en attendant que ton âme se soit envolée
 



Poème de Gérard Bricout
Bonheur, où es-tu ?

Vers le ciel, je lève les yeux,
En disant ; Bonheur, je te veux !
Bonheur, où es-tu donc passé ?
Tu étais pourtant bien fixé,
Là, dans ce corps qui était mien,
Mais soudain, il n’en reste rien.
 
N’étions-nous pas bons amis,
Profitant ensembles de la vie,
La dévorant à pleines dents,
Sans se soucier des gens
Qui, jalousant notre amitié,
Se contentaient de nous envier ?
 
Je te vois parfois avec d’autres,
Jouer aux jeux qui étaient nôtres.
Alors, je suis triste à mourir.
Comment as-tu pu me trahir ?
Tu m’as abandonné pourtant,
En sachant que je t’aimais tant !
 
C’est à mon tour d’être jaloux,
Pour la vie, je n’ai plus de goût
Maintenant, un feu me dévore,
Qu’importe mon argent et mon or,
Si tu n’es pas là, près de moi,
Quand bien même je serais roi !
 
Bonheur parfois éphémère
Et qui laisse la vie bien amère,
Lorsqu’il a décidé soudain,
De poursuivre un autre chemin.
Vers qui me tournerai-je alors,
Sans être déçu encore ?
 
Voici, dorénavant Seigneur,
En toi seul, je mets mon ardeur,
Parce que le bonheur n’est pas sûr,
Comme un ciel qui devient obscur.
Toi mon Dieu, tu ne changes pas,
Toujours, tu m’accompagneras !